Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Carlos Medina connaît son destin. Avec le langage propre à ses débuts, il se définit comme sculpteur géométricospatial. Il l'est dès sa période de formation à l'École des arts plastiques Cristóbal Rojas de Caracas lorsque, étudiant l'histoire de l'art, il fait la connaissance de l'oeuvre des constructivistes russes, des abstraits européens, des Américains et établit une relation directe avec les artistes vénézuéliens. Il sort de cette école en 1975 avec un mémoire sur l'artiste russe Vladimir Tatlin, fondateur du constructivisme russe en 1914. À partir de ces recherches, il découvre Kazimir Malevitch, fondateur du suprématisme en 1915. Il s'approprie alors l'axiome suprématiste selon lequel l'art, en tant que nouveau langage, pourrait « exprimer un système complet de construction du monde ». Cette même année (1975), il présente sa première exposition individuelle au Musée d'art contemporain de Caracas, invité par sa directrice Sofia Imber. La philosophie et l'esthétique qui marqueront l'artiste sont déjà définies. Elles consolideront sa vie et son travail tridimensionnel. Il déclare lui-même que ses mentors en matière d'art sont les influents créateurs abstracto-constructivistes : Vladimir Tatlin, Alexandre Calder, Piet Mondrian, El Lissitzky, Max Bill et Malevitch. Partir du matériel pour viser l'essentiel, tel est l'itinéraire plastique que propose résolument Medina.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"