La banlieue, on peut y vivre et ne pas savoir ce qui s'y passe. Tout le monde a entendu parler de racket et de tournantes, mais qui devine que cela concerne sa propre fille? Les gens se côtoient sans vraiment se connaître, même si leurs problèmes s'entrecroisent jusqu'à constituer une gigantesque trame. Les malfrats sont de plus en plus jeunes.
Qui est ce fameux Max, 14 ans, le racketteur en question? Personne ne le connaît, et il n'oeuvre que cagoulé. Va-t-on réussir à le démasquer? Ce roman décrit une société individualiste qui a perdu ses repères et où adultes et adolescents essayent de se trouver un bonheur éphémère. Un roman impitoyable sur la vie d'aujourd'hui.
Rosine Ammendola a déjà publié chez noir délire sous le pseudonyme de Claude Damian "Si on jouait au petit chaperon rouge?" qui se passe en banlieue, où elle habite et enseigne elle-même. Elle a aussi fait paraître trois romans chez d'autres éditeurs.
Un livre étonnant.
La banlieue est peu décrite du point de vue de ses habitants. Il s'agit là d'un roman policier ambitieux qui nous prend aux tripes et qu'on ne peut plus lâcher. On passe de personnage en personnage au fil d'une intrigue vraiment bien menée qui ne sacrifie jamais la vraisemblance. On comprend mieux cet univers très proche de nous après en avoir suivi les protagonistes. Un excellent roman !
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Il semble qu'il y ait un contresens, car bien au contraire, la banlieue est décrite du point de vue de ses habitants, les jeunes et leurs parents.