« J'ai su que vous me sauveriez de quelque chose. Oui, je l'ai su dès que vous avez passé la porte de chez moi. Je ne savais pas encore de quoi mais j'ai compris. Vous m'avez offert la chance d'être heureuse, de l'avoir été jusqu'au bout. Alors ne soyez pas triste de m'avoir fait grandir, ce ne serait pas juste. » Elisabeth Calys a retrouvé son héros et tous deux oublient peu à peu leurs désillusions. Mais Jean-Jacques ne peut demeurer ainsi, près de celle qu'il n'est plus capable d'aimer. La solitude, le remord du passé le rattrapent, lui ordonnant de mettre fin à leur idylle malsaine. Elisabeth s'enfuit à la recherche d'un homme sans doute déjà mort. Entre l'abandon et le besoin avide de réconfort, la jeune fille se retrouvera jetée au milieu d'un monde dont elle n'a jamais voulu. Et cette fois-ci Jean-Jacques ne sera pas là pour la protéger.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
