Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

L'infini regard

Couverture du livre « L'infini regard » de Claude Clair aux éditions Gunten
  • Date de parution :
  • Editeur : Gunten
  • EAN : 9782914211598
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

L'infini regard de Claude Clair, un roman et son auteur exceptionnellement imbriqués. Pourtant, un texte hors de soi, de lui, qui décrit des personnages, des morceaux de vies, braquant sur eux la lumière par instant, puis les projetant dans l'ombre et ainsi de suite. Une approche sur l'évolution... Voir plus

L'infini regard de Claude Clair, un roman et son auteur exceptionnellement imbriqués. Pourtant, un texte hors de soi, de lui, qui décrit des personnages, des morceaux de vies, braquant sur eux la lumière par instant, puis les projetant dans l'ombre et ainsi de suite. Une approche sur l'évolution de l'homme, sa transformation, ses capacités à être livré à lui-même et aux autres. Cet infini regard nous éclaire et ce regard à l'infini nous interroge... Tantôt caustique et irrité, Claude nous égare, nous secoue, nous prend à témoins, s'insurge : et si c'était cela... Puis lyrique et bavard, Claude vient nous rechercher, nous rassure, nous parle : Oui il y a tant à dire... voir, toucher, sentir. Oui la vie ! La donner ? La vivre ? la donner pour qui, soi ? Etre soi et encore soi, se perpétuer ou tuer ? Oui tuer. Claude répond à ces questions, radieux. Avec passion et ferveur, parfois il peint, parfois il écrit, parfois il chante... Et pour notre plus grand bonheur, on le sent bien aimer la vie et désirer que ce fût contagieux. Cette constellation de grandes personnes, tour à tour penchées sur son berceau puis guidant ses premiers pas, avait semé en lui les graines d'un savoir hétéroclite, et permis que la palette de ses goûts et sentiments fût riche de nuances. Son coeur quant à lui n'en finissait pas d'imploser : abondé, il s'ouvrait à l'amour. Les souvenirs de sa prime enfance flottaient en lui, mouvants mais délicieusement intacts, un ban de frais vivaces et espiègles qu'il se gardait bien de vouloir capturer, et dont il adorait sentir la présence, au crépuscule notamment, quand les frémissements de son présent rendaient éblouissantes les lueurs intérieures qui l'emportaient vers le sommeil. »

Donner votre avis