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L'oeuvre de Macedonski, étant considérée une réplique à l'oeuvre d'Eminescu, attire l'attention par sa complexité et son originalité. L'étude vise à mettre en évidence le fait que l'île et la mer de «Cezara» d'Eminescu et de «Thalassa» de Macedonski, en plus de leurs significations, leurs structures, leurs fonctions contextuelles concrètes qu'ils possèdent, acquièrent de nouvelles valences, en devenant des espaces de l'éros et/ou du thanatos. Du point de vue décoratif, l'Île des serpents («Thalassa») est une île aride, tandis que l'Île d'Euthanasius («Cezara») contient une végétation luxuriante. «Thalassa» est une nouvelle construite autour d'un mythe païen et a un final fermé. «Cezara», en revanche, conçue autour d'un mythe judéo-chrétien, est une nouvelle avec un final ouvert. En passant par les oeuvres, nous remarquons l'unité dans la diversité, le génie d'Eminescu et le talent de Macedonski.
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