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C'est en 1950 qu'Henri Guillemin, désolé qu'on ne comprenne pas le caractère jovial et enjoué de Victor Hugo, publie une sorte d'anthologie des bons mots du poète. Lequel très amateur de calembours (« la fiente de l'esprit qui vole » aurait-il dit) et d'à-peu-près, passait pour un compagnon très agréable auprès de ses invités ou dans les soirées plus ou moins mondaines. Hugo, écrit Henri Guillemin, nous avait pourtant mis sur la voie lui-même, et sans mystère : « Mon moi se décompose, écrivait-il vers 1840 déjà, en Olympio, la lyre; Hermann, l'amour; Maglia, le rire; Hierro, le combat. » Le « rire » figure donc parmi les éléments constitutifs que dénombre Victor Hugo dans sa propre personnalité. On s'obstine à l'imaginer toujours grave et vaticinant, jouant au pontife ou au penseur. Et c'est vrai qu'il adopte, devant les photographes, des mines volontiers tragiques ou du moins l'attitude austère d'un homme dont de grandes pensées habitent le front monumental... Et pourtant, et pourtant ! A parcourir ce recueil de citations on se prend à sourire le plus souvent, voire rire parfois, devant les formules la plupart assez vachardes sinon assassines. Cet éclairage rend Victor Hugo plus humain, plus à notre portée. Merci, encore une fois à Henri Guillemin de nous l'apporter.
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