Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
L'anthropocène contraint l'humanité à prendre conscience que, sauf à s'autodétruire, elle n'a de destin que commun. Aussi doit-elle prendre le risque et la responsabilité de s'autoconstruire et, pour cela, de se former en communauté souveraine. L'auteur modélise les lois qui président à la création des liens intersubjectifs requis en confrontant la très riche offre d'avenirs en puissance proposés par l'aptitude de l'esprit à savoir à la nécessité de la réduire à un seul, le nôtre, mettant en tension l'individuation, l'Être Soi solipsiste et l'identification dans un Être Nous, sacrifiant à une mimétique sociale nostripsiste. Le modèle se fonde sur l'aptitude de l'esprit à produire la certitude du « juste » qui signifie le réel et à la partager, partant, à transfigurer le monde, bref, à croire. Pratiquement, en résulte une noosphère qui donne à la mondialisation un sens dont elle est actuellement dépourvue ; on l'explorera jusqu'à son terme, téléologique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !