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Mauvaise farce, tragédie lucide, dystopie joyeuse... L'homme qui dormait sous mon lit esquisse un monde parfait ou` une prime d'indemnité serait allouée aux citoyens responsables qui hébergent un refugié, où une récompense supplémentaire leur serait accordée au cas où ledit refugié, pousse´ a` bout, se suiciderait, sans faire de tache. Zéro culpabilité. Parce qu'un bon migrant est un migrant qui se suicide, proprement, sans engager la responsabilité de la France, de l'Allemagne ou de l'Italie. Mais on compatit, naturellement. On n'est pas des chiens... La création de L'Homme qui dormait sous mon lit a eu lieu en août 2020 dans le cadre du festival « D'un été particulier », dans une mise en scène et des musiques de l'auteur, avec Muriel Gaudin, Silvie Laguna et Clyde Yeguete.
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