"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'ogre corse est mort à Sainte-Hélène... Un siècle passe, presque un siècle, 99 ans...
Les quatre familles Archontes s'affrontent toujours dans l'ombre. Les moines rouges et l'Archonte Dyo semblent poursuivre un but commun, mais lequel ? Sarajevo, 28 juin 1914, un soldat des Coupes échange sa vie contre celle de l'archiduc François-Ferdinand...
Septième tome de la série et fin du premier cycle. Nous nous retrouvons lors de la première guerre mondiale pendant laquelle les archontes s'affrontent une nouvelle fois. Les uns pour stopper cette guerre horrible, les autres pour peut-être créer une paix durable, mais la guerre tournant en leur défaveur, ils recherchent celui qui pourra accomplir leurs rêves.
Cet album est à la hauteur du cycle, mauvais. On prend les mêmes et on recommence. L'histoire est d'un brouillon lamentable, parfois sans queue ni tête, c'est frustrant.
Le graphisme est fidèle et comme d'habitude déçoit énormément. C'est d'une laideur parfois que l'on se demande quelle a été la ligne directrice, la politique commerciale de Pécau. Quel but ? Sortir un album tous les deux mois, pour vendre sans réel souci de qualité.
Pour ma part, la série s'arrête ici, c'est trop mauvais pour donner l'envie de continuer.
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