"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Septième tome de la série et fin du premier cycle. Nous nous retrouvons lors de la première guerre mondiale pendant laquelle les archontes s'affrontent une nouvelle fois. Les uns pour stopper cette guerre horrible, les autres pour peut-être créer une paix durable, mais la guerre tournant en leur défaveur, ils recherchent celui qui pourra accomplir leurs rêves.
Cet album est à la hauteur du cycle, mauvais. On prend les mêmes et on recommence. L'histoire est d'un brouillon lamentable, parfois sans queue ni tête, c'est frustrant.
Le graphisme est fidèle et comme d'habitude déçoit énormément. C'est d'une laideur parfois que l'on se demande quelle a été la ligne directrice, la politique commerciale de Pécau. Quel but ? Sortir un album tous les deux mois, pour vendre sans réel souci de qualité.
Pour ma part, la série s'arrête ici, c'est trop mauvais pour donner l'envie de continuer.
Dans ce sixième épisode, nous nous retrouvons au début de la période de pouvoir de Napoléon Bonaparte à Toulon. L'un des Archontes le soutient alors qu'un autre essaye de le détruire. Encore une fois, nous nous rendons compte que les grands personnages de l'histoire n'ont été que des marionnettes.
Le scénario est assez confus, même très brouillon. Il est difficile d'arriver à suivre l'histoire car tout le monde ne connaît pas par coeur les faits relatés et quelles sont les différents pouvoirs en place au moments des événements. Ce défaut ou cette omission de l'auteur à ne pas expliquer l'histoire donne une difficulté au lecteur devenant épuisante.
Le graphisme est vraiment moyen et les personnages sont mêmes brouillons aussi. Certaines cases sont d'une mocheté décevante. Nous sommes au sixième album et la série est finalement d'un très mauvais niveau.
Ce cinquième tome emmène les archontes au XVIIème siècle à Londres, sur les traces d'un sorcier qui est devenu puissant grâce à des cartes représentant les icônes originels.
Ce cinquième opus de la saga est à ce moment de l'histoire le meilleur dans tous les sens du terme. Les archontes sont ici plus présents et leur implication est beaucoup mieux relaté que précédemment. Les personnages secondaires sont clairement traités comme des hommes et des femmes de passage sur terre, ce qui permet de plus facilement s'approprier les personnages complexes que sont ces archontes. Le scénario est beaucoup mieux travaillé et les rebondissements sont plus clairs dans les événements qui les suivent.
Le graphisme est beaucoup mieux soignés, c'est une évidence frappante, et cela se voit rien qu'avec les personnages et leurs expressions. Le graphisme est plus pointu accompagné par des couleurs d'ambiance plus présentes, l'album arrive à nous faire ressentir les différents temps forts de l'histoire en s'aidant justement de la couleur dominante dans chaque partie de l'histoire.
Le seul bémol qui en ressort est le côté charme de l'album. En effet, l'auteur a souhaité appâté le lecteur avec beaucoup de dénudés que dans les albums précédents, le décolleté de l'archonte sur la couverture en est uniquement les prémices contenus dans les l'album.
En somme, cet album est bien meilleur que les albums précédents et relèvent largement le niveau de la saga, comme quoi, parfois faut s'accrocher.
Ce quatrième tome de l'Histoire Secrète, celle qui a modelé notre monde se déroule à l'époque de Nostradamus. Les conflits pour la puissance d'un empire est toujours de mise entre la fratrie, mais le fait marquant de cet épisode est la possibilité donnée à des hommes de pouvoir reproduire et utiliser les icônes jusque là réservées aux archontes.
Cet album est un peu mieux construit que les épisodes précédents, mais il est toujours très perturbant de constater que nous n'arrivons pas à s'attacher ou simplement à situer rapidement les personnages de l'époque. Passées les premières pages, la trame semble alors se fait plus claire et l'histoire s'installe alors plus facilement. On dirait même que l'auteur arrive à mieux gérer son histoire par rapport aux albums précédents dans lesquels les scénarios semblaient assez brouillons.
Un élément assez important fait de cet épisode un rebondissement non négligeable dans la saga et nous comprenons rapidement quel avenir compte t-il donner à sa saga et quels sont les événements tragiques de l'humanité qui vont en résulter.
Le graphisme est toujours aussi moyen, bien que les personnages sont enfin mieux travaillés et leurs expressions plus... expressives. Le graphisme était un gros problème et il semble s'améliorer, en changeant les dessinateurs certes, mais en palliant aux déficits artistiques des précédents, à moins que ce soit plus pour produire rapidement les albums, en même temps quasiment.
Cet album relève largement le niveau de la série mais n'est pas encore à la hauteur bien que l'idée soit réellement un atout indéniable. Je pense qu'il faut encore un peu persister pour voir...
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !