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L'économie ne peut être décrite que par des systèmes bouclés. L'effet de la rétroactivité de ces systèmes peut être pris en compte quantitativement, sans que cela n'introduise un dilemme entre les lois physiques et les comportements humains, même « manipulateurs ». Une même approche scientifique est utilisable : c'est l'étude quantitative de la stabilité des systèmes bouclés, en utilisant notamment l'abaque de Black-Nichols. L'autorégulation des marchés-soit le système capitaliste - ne peut fonctionner que si les systèmes bouclés respectent la condition d'être intrinsèquement stables au sens de l'automatique. Alors seulement des prévisions pourront être entreprises à la lumière de la statistique gaussienne. Que peut-on faire pour le système financier et l'économie ? En considérant l'effet Larsen, c'est-à-dire l'entrée en oscillation à haute fréquence d'un système acoustique, comme exemple de la crise économique, l'auteur en décrit le mécanisme d'une nouvelle manière. Et si la crise était l'analogue de la divergence du système bouclé que constitue le système financier et à sa suite l'économie réelle qui en dépend ? En introduisant le concept de rétroaction, l'ingénieur multiprimé François Auzel démontre qu'on peut donner des valeurs absolues à ne pas dépasser pour assurer un fonctionnement intrinsèquement stable. Un travail audacieux et novateur, qui vient repenser la façon d'appréhender le capitalisme.
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