L'été avance et les chroniques de vos lectures se multiplient !
Dans ma prochaine lettre, je te raconterai mon arrivée à New York. Je te raconterai Ellis Island, ce terrible endroit par lequel passent tous les migrants. Il faut que je te laisse. Il fait vraiment très froid à présent, la nuit tombe et je dois aller prendre mon service au Waldorf.
Je t'embrasse, mon cher fils.
Des montagnes pyrénéennes à New York, une histoire d'amour filial incroyablement émouvante portée par l'espoir des deuxièmes chances que la vie offre parfois.
L'été avance et les chroniques de vos lectures se multiplient !
« Lettres de Washington Square » m’a fait voyager, voyager en Ariège, à New-York, à Paris. Voyager à travers les années, des années 1920 aux années 90. J’ai lu avec plaisir et envie cette histoire familiale à travers le regard de Zélie qui la découvre aussi cette histoire. À travers Michel, le papa de Zélie. Michel qui est devenu orphelin de mère à sa naissance et « abandonné » par Baptiste son papa. Michel qui a été élevé par sa grand-mère maternelle et sa tante, la soeur jumelle de sa mère. À travers les lettres de Baptiste adressées à son fils. Des lettres qui n’ont jamais reçu de réponse, des lettres emplies d’amour d’un père pour son fils. Des lettres qui racontent tout. Ce roman est une histoire familiale, une histoire d’amour d’un père pour son fils, d’un père pour sa fille et d’une fille pour son père. Ce roman, c’est la révélation de secrets, d’actions qui ont fait du mal, des non-dits, des promesses qui auraient dû ne pas être tenues. Ce roman, c’est l’histoire d’un homme qui a traversé l’Atlantique dans le seul but: offrir un avenir à son fils. Ce roman, c’est l’histoire de femmes qui ont eu le coeur brisé par la mort et qui ont pensé bien faire pour Michel. Ce roman, c’est l’amour d’une fille pour son père, une fille qui connait l’histoire et qui veut que cette histoire ait une belle fin.
Dans « Lettres de Washington Square », il y a de l’amour, beaucoup d’amour. De l’amour maladroit. De l’amour que rien ne peut ébranler. De l’amour exprimé. De l’amour dans les silences. J’ai été fascinée par Baptiste et ses lettres, ses lettres qu’il n’a cessé d’écrire alors qu’il n’a jamais reçu de réponse. J’ai été fascinée par sa détermination, par son incroyable aventure à New-York, de son travail acharné pour pouvoir offrir à son fils un bel avenir. J’ai été fascinée par son amour indéfectible pour Michel. Anne Icart nous raconte tout cela avec tendresse, sensibilité. Ses mots sont doux, sont justes. Je me suis laissée envoûtée par l’histoire, par les personnages, par New-York. Son roman est beau, sincèrement beau. C’est une jolie histoire que j’ai aimé.
Histoire familiale basée sur les secrets de famille et leurs dégâts. Roman agréable qui nous emmène des Pyrénées à New-York.
« Lettres à Washington Square » est un livre dont je serais sûrement passée à côté si je n’avais pas dû le lire dans le cadre du jury pour le Grand Prix des Lecteurs 2020 de L’Actu Littéraire. Pas en raison que la quatrième de couverture ne me tentait pas mais tout simplement parce que je trouve que sa parution est passée un peu inaperçue. Vu qu’il est sorti début février, la crise sanitaire du coronavirus n’était pas très loin, mais c’est vraiment dommage pour ce livre qui mérite d’être mis en lumière pourtant.
On commence le récit en 1989 à Ercé en Ariège, en compagnie de Zélie qui vient de perdre sa grand-mère paternelle tant aimée. Alors que l’heure est aux souvenirs, en rangeant ses affaires, elle découvre des boîtes remplies de lettre d’un certain Baptiste. C’est alors qu’elle se rend compte qu’il s’agit du père de son père Michel qui était parti courant des années 1920 en Amérique à la suite du décès de son épouse et qui n’est jamais revenu. Vient ensuite la lecture de ses lettres et la révélation de secrets familiaux longtemps enfouis…
Aussi bien l’histoire que le style d’écriture m’ont énormément plus. Doté d’une plume très délicate mais aussi très sensible, Anne Icart conte une histoire bouleversante dont je suis tombée sous le charme. Finalement, alors que je croyais ne pas forcément aimer les sagas familiales, je me rends compte que j’en aligne de plus en plus et vu leur qualité, je passe de très bons moments de lecture.
L’auteure déploie une histoire poignante à bien des égards, sans tomber dans le mièvre, en compagnie de personnages ô combien attachants. C’est un plaisir d’évoluer au fil des années avec eux. Les différentes parties du livre sont chacunes consacrées à l’un des protagonistes principaux. Vient ensuite une alternance entre le passé et le présent (fin des années 80). Ces plongées dans le temps font qu’on ressent une réelle alternance de la narration dont Anne Icart fait preuve avec du talent à profusion. Merci pour ce beau moment d’évasion notamment dans cette ville de New York qui me tient tant à coeur.
Je tiens à saluer Stan Zygart pour la beauté des couvertures du livre.
Ce livre m'a été chaudement recommandée par mon amie Sonia et je la remercie énormément car je l'ai adoré. Tu me connais bien dis donc !!
Il s'agit d'une histoire à plusieurs voix se déroulant tout au long du 20è siècle avec pleins de rebondissements et de secrets de famille.
Zélie assiste sa grande tante avec qui elle a un lien plus que privilégié.
L'histoire est palpitante et on se laisse vite entrainer dans cette quête de vérité et de fouille du passé.
Les personnages sont hauts en couleurs, les émotions sont magnifiquement décrites et l'histoire, tragique par moments, est superbe.
CE n'est pas le 1er livre que je lis d'Anne Icart mais je crois que c'est mon préféré.
L'histoire est très réaliste, riche de détails mais sans être lourds. Les sentiments sont beaux et sincères et malgré des découvertes pas très joyeuses, il ressort de cette lecture une joie, le triomphe de la vie sur les non dits.
La plume est fluide, libre, tendre, et on se laisse doucement emporter et bercer par les mots d'Anne Icart qui a un grand talent de conteuse.
Dans ce "feel-good" construit autour d'une même famille,Zélie porte le même prénom que sa grand-mère,une maîtresse femme.La narratrice découvre en juillet 1989,après la mort de sa grand-tante Tine,des lettres adressées à son père Michel,gynécologue réputé,pendant 60 ans par Baptiste,son grand-père dont elle ignore tout.Du petit village d'Ercé dans les Pyrénées au Washington square de New-york la trépidante,le lecteur voyage,découvre,apprend grâce à des descriptions précises.
En exergue,cette phrase de St Augustin:"Car tout fils tient de son père tout ce qu'il est,et il ne peut cesser d'être son fils."Plusieurs thèmes enrichissent ce panorama du XXème siècle mais c'est surtout l'émotion,sans être mièvre,qui prédomine.On est touché par les hommes,grands solitaires,de cette famille.
Un leitmotiv revient sous la plume de cette auteure qui s'est inspirée de sa propre histoire familiale:
"La liberté,mon fils,la liberté.Celle de partir ou de rester.Celle de bâtir ou de détruire.Celle de s'envoler ou de s'enterrer.Celle d'aimer ou de haïr."
Avec "Lettres de Washington Square" d'Anne Icart on découvre une histoire sur le fameux
Une belle lecture, qui mets à l’aise par une écriture fluide et authentique. Ce roman parcourt l’histoire de trois générations entre Zélie la petite fille qui découvre les lettres comme le lecteur, Michel le père et Baptiste le grand père,. A travers ces lettres, le lecteur va découvrir colle Zelie des secrets, des non-dits et avoir la chance d’entendre la voix de son grand-père raconter son amour filial. Car qu’il s’agit Ici, au delà du temps, de découvrir un portrait d’un père et de sa relation avec son fils. . Ce père démuni et déchiré par la perte de son épouse à la naissance de leur premier bébé. Anéanti, cet homme n’a pourtant jamais rien lâché et, sa vie durant, il n’a eu de cesse de tenter, coûte que coûte, d’écrire à son fils. Avec le même amour, la même douceur, et un espoir invincible. Le drame est la séparation qui amène père et fils à avoir des vies séparés. Mais le lecteur est porté par un espoir, les lettres n’ont pas été retrouvées par hasard par Zélie....et un sentiment doux de résilience permet d’achever cette lecture en se sentant bien, heureux de ce doux moment de lecture.
#NetgalleyFrance #lettresdewashingtonsquare
Roman facile à lire, très distrayant. On est tenu en haleine jusqu'au bout, c'est assez émouvant également. Très sympa.
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