80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Pour que la Nouvelle République tienne ses promesses d'une gestion efficiente du pouvoir dans une dynamique et une volonté du Magistrat suprême de n'avoir pas sur ses épaules une charge à la limite hors norme ; puisque relevant d'une sphère propre à d'autres citoyens ayant la qualification requise en la matière que sont les vrais magistrats sortis des grandes écoles de Droit, notre essayiste suggère que le président de la République laisse au Président de la Cour Suprême les rênes du Conseil Supérieur de la Magistrature pour un véritable pouvoir judiciaire à part entière si tant est que l'actuel lui semble rogné par celui qui, en même temps, est à la tête de l'exécutif. N'est-ce pas pertinent ? Mieux encore, pour arrêter la gestion scabreuse de certains membres du Gouvernement des biens de l'État dont ils ont la charge, SIANARD propose d'instituer un organe répressif : la Cour Correctionnelle de la République sous la houlette du Président de la Cour Suprême. »Il y a dans cet ouvrage une part assez importante d'optimisme sur l'avenir du Congo et de ses fils, si et seulement si, l'on pouvait prendre conscience de notre destin national. Sur la base d'un bilan, notre auteur fait ici des propositions variées inhérentes au bon fonctionnement du Congo.
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