Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
L'Homme matérialiste voit sa mort comme un anéantissement. Pour l'Homme anthropomorphique, l'au-delà est le lieu du jugement de son vécu avec un système de récompense ou de punition. Selon une troisième perception dénuée de tout mysticisme et développée dans ce livre par Jean Gaubicher, le corps en tant que matière disparaît et son esprit lui survit, mêlé à des matrices conceptuelles. On désigne ainsi l'après-vie comme un passage de la matière à l'esprit cosmique.
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