80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ce qui crée le fantastique, selon Roland Barthes, c´est l´hésitation entre une explication rationnelle et une explication surnaturelle d´un fait à l´intérieur d´un récit. Mais Laurent NOEREL redéfinit cette notion en nous présentant sa conception du fantastique dans ce recueil : il s´agit pour lui de maintenir du début jusqu'à la fin de chaque récit un climat d´angoisse qui sert, pour ainsi dire, de vêtement à la narration ; elle s´en recouvre pour mieux amener le lecteur d´épisode en épisode, jusqu´au terme d´une poursuite ou d´une exploration dans les domaines occultes de la terreur ou d´une anxiété latente. En vérité, s´il existe dans ce recueil une forme d´hésitation, c´est bien entre ces deux sentiments qu´elle se produit, page après page.
C´est cela, le plaisir de la lecture des Victimes de l´ombre. C´est ce que nous réserve l´auteur de ces contes qui doivent prendre une place bien méritée parmi les oeuvres marquantes de la littérature des ténèbres.
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