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Que s'est-il réellement passé en mars 1976 dans la petite ville de Saint Sauveur, en Arizona ?
C'est la question à laquelle tente de répondre le journaliste Neil Sheehan, confronté à une énigme qui divise la population : la disparition, sans mobile apparent, de plusieurs adolescents. Tandis que le shérif Liam Golden met tout en oeuvre pour résoudre l'affaire, les mères des disparus accusent une communauté de marginaux qui s'est installée un an plus tôt dans les parages. Et pendant ce temps, d'étranges lumières apparaissent les nuits sans lune et la tension continue de monter entre les deux camps...
Comment démêler le vrai du faux ? À qui donner tort ou raison ? Distillant le doute, recoupant témoignages et informations réelles, Romain Puértolas invite le lecteur à mener l'enquête dans ce roman dont chaque page déjoue les certitudes.
1976. St Sauveur, en Arizona. Petite ville tranquille jusqu'au jour où s'installe une secte ou plutôt un ramassis de délinquants et de hippies. La population n'en peut plus, notamment Denise qui tient un petit restaurant. Celui-ci a été dévalisé une nuit. D'autres personnes se plaignent, craignent pour leurs enfants. Plusieurs habitants ont vu des ovnis dans le ciel et les vaches sont perturbées. La police ne fait rien. La tension est à son comble quand 3 adolescents disparaissent, sans lien apparent : une fille et deux garçons, qui n'ont pas le même âge. A coup sûr, ils ont été kidnappés et se trouvent quelque part cachés dans cette secte. Les 3 mamans se révoltent et entraînent avec elles la population, secouent les puces des policiers. Ceux-ci font pitié, tournent en rond et n'avancent guère. Comme d'habitude avec cet auteur, le dénouement est assez surprenant. Quelle imagination ! De plus, il nous replonge bien dans les années 70. Je n'étais qu'une enfant mais je me souviens des interrogations de mes parents quand la nuit, nous croisions des ovnis au-dessus de nos têtes ... L'auteur nous met très facilement sur des fausses routes et difficile d'imaginer la vérité. A la fin de l'histoire, je me suis même demandé pourquoi l'un des garçons avait tenté de s'enfuir de sa cave, ce qui ne me semblait pas correspondre à la conclusion. J'ai écrit à Mr Puertolas qui m'a gentiment répondu et éclairci.
Pour ceux qui ont lu le roman (pour les autres, n'essayez pas de comprendre), on peut se demander pourquoi le dentiste qui était resté à part n'a jamais parlé à la police du lien qui existait entre les familles des enfants kidnappés. C'est mon seul bémol et cela n'a rien enlevé au plaisir de ma lecture !
D'emblée je fus conquise par le sujet et je n'ai eu aucune hésitation à démarrer ce roman. Mais, rapidement j'ai rencontré un certain ennui et le sentiment de ne pas pouvoir entrer dans cette histoire, de ne pas vraiment en comprendre le sens et de me heurter finalement à une montagne de banalités et d'incohérences sur plus de 400 pages. Et pourtant, dieu sait que j'aime l'Arizona !
En mars 1976, un fait divers défraye la chronique aux États-Unis. Dans la petite bourgade aride de St Sauveur, près de Tucson en Arizona, a lieu sans mobile apparent la mystérieuse disparition de trois adolescents, une fille et deux garçons.
Cette petite ville fictive vivait tranquille jusqu’à l’installation, un an avant les faits, de la Communauté des Sauveurs dirigée par le Mexicain Emilio Ortega, la réincarnation de Jésus Christ.
Les mères des disparus suspectent aussitôt les membres de la secte.
Bien que le shérif Liam Golden fasse son possible pour résoudre l’affaire, celles-ci l’accusent d’incompétence et prennent l’affaire en main.
Pendant ce temps, lors des nuits sans lune, une série de phénomènes paranormaux se produit dans le ciel de la bourgade…
Mais que s’est-il donc passé en mars 1976 ?
Romain Puertolas délaisse un peu la légèreté et l’humour déployés dans ses livres précédents ce qui je l’avoue, m’a un peu désarçonnée au départ, pour nous offrir avec Les Ravissantes, un roman très différent, plus sérieux, même si le loufoque n’est pas très loin, un vrai polar.
C’est un roman totalement addictif et je n’ai eu de cesse de tourner les pages, redoutant en même temps de le terminer !
Difficile en effet de démêler le vrai du faux, de savoir à qui faire confiance, de ne pas choisir la facilité et incriminer l’autre, celui qui est différent, marginal, de ne pas redouter une issue fatale pour ces ados.
Mais j’ai avant tout été subjuguée par les moyens que vont déployer ces mères portées par leur amour pour leurs enfants, ces mères qui ne vont pas hésiter à organiser des marches, à se diriger vers la forteresse derrière laquelle vivent les marginaux, leur force décuplée par la crainte qu’il ne soit trop tard pour leur progéniture.
Romain Puertolas est vraiment un raconteur d’histoire hors normes et emmène son lecteur ou du moins m’a emmenée là où il le souhaitait, m’a vraiment bernée et ce, pour mon plus grand plaisir.
Il mène cette enquête de main de maître, chaque page déjouant nos certitudes.
Peut-être suis-je bon public, en tout cas, Romain Puertolas m’a absolument mystifiée !
J’ai replongé avec une certaine nostalgie dans ces années 70, une époque où l’on parlait beaucoup de ces hippies, de ces sectes, de la drogue, des OVNI…
La gigantesque statue à l’effigie du gourou m’a immanquablement fait penser à la communauté du Mandarom à Castellane…
Quant au titre du roman, Les Ravissantes, il est à mon avis extrêmement bien choisi, même s’il faut attendre quasiment les dernières pages du roman et c’est un beau cadeau, pour en saisir toute la saveur !
Chronique illustrée à retrouver sur https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/2023/04/romain-puertolas-les-ravissantes.html
La petite ville jusqu’ici si tranquille de St Sauveur, au fin fond de l’Arizona, ne respire plus depuis que, derrière les murs de son ancien fort situé sur les hauteurs, est venue s’installer une communauté hippie et son gourou qui se fait passer pour le Christ. Quand, en ce mois de mars 1976, trois adolescents disparaissent sans laisser de traces, les parents incriminent aussitôt ces encombrants voisins. Le reste de la population les suit d’autant plus volontiers que d’étranges et inexplicables lumières, venant régulièrement éclairer la nuit au-dessus du fort, renforcent les préventions à leur encontre. Pourtant, la police reste bredouille…
La marque de fabrique de Romain Puértolas est décidément de mystifier ses lecteurs. Dans ses précédents livres, il se jouait de nous au long de facéties toutes plus malicieuses et surprenantes les unes que les autres. Cette fois, il change de tactique, versant dans un mode beaucoup plus sérieux, mais ne s’en ingénie pas moins, pour notre plus grand plaisir, à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Suffisamment, en tout cas, pour nous faire douter en cours de route : a-t-il tout inventé, ou relate-t-il un fait divers qui aurait réellement défrayé la chronique de l’Amérique profonde des années soixante-dix ?
Plus que l’enquête elle-même, au fond à la mesure du fait divers qui l’occasionne, c’est le trouble du lecteur quant à son semblant de véracité qui fait tout l’intérêt du livre. Romain Puértolas réussit en quelque sorte un « fake », où l’invention prend toutes les allures terre-à-terre du réel au travers de détails soigneusement documentés sur les personnages, les décors et l’atmosphère, mais aussi d’une construction narrative habilement maquillée entre reconstitution et témoignage. Et puis, comme à son habitude, il sème tout au long de sa narration les éléments qui, passés inaperçus du lecteur, viendront le surprendre en une chute inattendue alors qu’ils étaient à sa portée depuis le début.
Même s’il évolue vers un registre plus classique et "passe-partout" qui frustrera peut-être les lecteurs les plus attachés au charme espiègle de ses précédents romans, Romain Puértolas nous offre une nouvelle lecture plus que jamais en trompe-l’oeil, comme il sait si bien nous les concocter.
Dans une petite ville en 1976, 3 ados disparaissent. Les parents et notamment les mères vont se battre ardemment pour que la police mène l’enquête à bien. Depuis quelques temps une communauté s’est installée dans le village autrefois si paisible. Elle est dirigée par Jésus Christ, ou plutôt par un gourou qui se dit en être la réincarnation, et les soupçons des parents se portent sur elle. Ils sont persuadés que leurs enfants ont été enlevés par cette espèce de secte.
On suit l’enquête, les errements, les questions que se posent tout un chacun et personnellement je me suis pas mal ennuyée. Sur les 3 quarts du livre ça tourne beaucoup en rond, il ne se passe pas grand chose. Oui, non, c’est eux, c’est pas eux, finalement peut-être que si, ah ben non… pfff…
Sur le dernier quart du livre cela bouge un peu plus mais là encore, pas longtemps avant que cela ne soit révélé j’avais deviné le fin mot de l’histoire donc pas de surprise.
La seule chose que j’ai apprécié c’est l’explication du titre « les ravissantes » que l’on ne comprend que dans les dernières pages, l’idée est bien trouvée.
Au final un livre que je suis contente d’avoir fini pour en être débarrassée. Je n’ai pas pris de plaisir particulier à le lire, je n’ai pas été happée par l’histoire qui ne m’a absolument pas tenu en haleine du tout. L’ennui a été dominant.
Un livre que j’oublierai vite et que je ne conseillerai pas autour de moi.
Dans un premier temps, je tiens a remercier Romain Puértolas qui encore une fois m’a fait parvenir son nouveau roman.
J’ai la chance de faire partie de ces gens qui a eu la chance de connaître Romain l’auteur avant de la parution du fakir en 2013, soit plus d’une décennie que je lis, pour ne pas dire dévore ma dose livresque de Puértolas chaque année ou presque. Et il est incroyable de voir comment la plume de Romain Puértolas s’est affinée avec les années, comme le bon vin Romain s’est tempéré, d’une écriture burlesque est drôle, il est devenu avec les années plus sérieux, avec toujours de temps en temps une petite pointe d’humour et de poésie. Il n’a pas fait ce changement du jour au lendemain, mais petit à petit, lignes après lignes, il a habitué son lecteur a ce nouveau Puértolas et ce virage en pente douce est un véritable bonheur littéraire.
Avec Les Ravissantes, Romain Puértolas signe à mon goût un véritable petit chef d’œuvre bien plus aboutis que le Fakir, a l’instar de ces deux derniers opus, la police des fleurs et le parapluie d’Adelaïde, Romain offre à son lecteur une intrigue qui le tiendra en haleine jusqu'à la dernière page, particulièrement bien ficelé.
Mars 1976, Saint-Sauveur dans l’Arizona aux États-Unis, trois adolescents disparaissent mystérieusement, les doutes se portent évidemment sur la secte fraîchement installée et son gourou Emilio Ortega qui a une fâcheuse tendance à se prendre pour Jésus Christ. Mais dans le même temps, on aperçoit des lumières étranges dans le ciel…. Entre théorie extraterrestre et fous de Dieu le Shérif Liam Golden mène l’enquête. À chaque retournement, tout semble clair comme de l’eau de roche, mais ce n’est bien qu’à la fin que tout s’éclaircit et ne ressemble pas vraiment aux évidences passées, mais le dénuement coule de source….
Sur le blog: https://www.bouquinovore.com/2022/05/les-ravissantes-romain-puertolas.html
https://www.alombredunoyer.com/les-ravissantes-romain-puertolas/
Romain Puertolas est un auteur que je suis assidûment depuis son premier roman: L'Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea. Souvent rocambolesques, voire abracadabrantesques comme aurait dit feu un de nos anciens Président de la République, ses ouvrages ne laissent jamais le lecteur indifférent.
Les Ravissantes, son dernier opus, ne déroge pas à la règle. Pari audacieux... défi relevé avec brio !
"Denise, Susan et Eva, trois femmes, trois vies, et la même rage de se battre et de vaincre. Voilà pourquoi ils devraient tous comprendre aujourd'hui qu'elles n'abandonneraient pas, qu'une femme qui s'est levée ne se remet jamais à genoux. "
Mystérieuses disparitions
Commençons cette recension par quelques mots sur l'intrigue. Pour cette nouvelle aventure, Romain Puertolas se déporte en mars 1976 aux États-Unis, plus précisément dans une petite ville au nom prédestiné, Saint-Sauveur en Arizona. 3 enfants disparaissent successivement mystérieusement. Qu'est-il arrivé à Jessica, Elliot et Nick ? Ont-ils été enlevés par la Communauté des Sauveurs, cette secte du gourou Ortega se prenant pour Jésus-Christ, excusé du peu, comme le claironnent les habitants et les parents des enfants ?
L'énigme est confiée au shérif Liam Golden, un personnage auquel on ne peut que s'attacher. Au fil des chapitres, le lecteur suit en parallèle les enquêtes : l'officielle et ses multiples soubresauts, l'officieuse menée par les battantes, les 3 mères des enfants.
Le tout est relaté par un journaliste, Neil Sheenan qui interviewe quelques années après le ou la ou les coupables... Mystère jusqu'aux ultimes lignes. Il y a comme un petit quelque chose de La vérité sur l'affaire Harry Quebert...
J'ai posé le contexte, j'ai ouvert la boîte et réparti sur la table toutes les pièces du puzzle. À vous désormais de les assembler.
«Commencez au commencement et continuez jusqu’à ce que vous arriviez à la fin, ensuite, arrêtez-vous. » Je pense que cette méthode a fait ses preuves.
Original
Romain Puertolas nous a habitués dans ces deux dernières productions aux résolutions d'énigmes, aux clés à retrouver au fil des pages. Le lecteur n'est donc pas dépaysé... et pour autant, Les Ravissantes offre une construction réellement atypique.
Vous serez d'emblée dans le game comme disent les Anglo-saxons avec ce premier chapitre... Happé, envoûté, vous aurez sûrement comme moi du mal à stopper votre avancée. Premier coup de maître.
Vous y trouverez Jésus-Christ en interaction avec la modernité d'un objet volant non identifié, de la cocaïne et des vaches folles, un peu de surnaturel, des lumières étranges la nuit, des extraterrestres, autant d'enquêteurs que d'habitants dans la ville... Drogue et religion, couture, cuisine et police, avouez que ce n'est pas commun. Normal me rétorquerez-vous, il s'agit d'un roman de Romain Puertolas, l'auteur aux titres de livres impossible à se souvenir entièrement tant ils sont longs. Ah ! J’oubliais : des références musicales, des références littéraires. Une vraie quincaillerie à l'ancienne.
Romain Puertolas ajoute une corde de plus à son arc: le twist ! Je n'en dis pas plus, je vous laisse découvrir. Attention, vous avez beau être prévenu, vous tomberez de l'armoire lorsque vous découvrirez la fin ;-) Welcome Joël Bussi.
"Le policier reconnut qu'il avait d'abord préféré privilégier d'autres pistes, puis qu'il n'y avait aucun indice qui pointait pour le moment vers la Communauté, mais qu'il irait y faire un tour dès qu'il aurait un moment. Et ce fut là sa deuxième erreur."
Bluffant
Romain Puertolas aime jouer avec son lecteur. Je le sais, je m'y étais préparé... et pour autant je me suis complètement fait berner. Échec et mat Benoît !
L'auteur dissémine ici ou là des indices plus ou moins... importants. Il prend surtout un malin plaisir à nous perdre. Ici une phrase, là une longue description dont on se demande bien quel est l'intérêt. Nos nerfs sont régulièrement à rude épreuve.
Romain Puertolas excelle dans ce jeu. Son écriture est vive, le style est dynamique. De nombreux dialogues rendent le scénario haletant et attisent l'envie du lecteur. Certes il y a quelques longueurs mais dans l'ensemble le récit est d'une grande cohérence.
Si je devais qualifier les 420 pages des Ravissantes ? Un sans-faute, une maîtrise totale ! Rien n'est laissé au hasard.
Et ce titre... sa réelle signification... chapeau bas !
Lecture facile, d'apparence simple, d'une évidence certaine... tout faux ! Méfiez-vous toujours d'un Romain Puertolas qui ne vous laissera jamais ronronner tranquillement en tournant les pages.
"Liam Golden passa du doute à l'effarement. Cela ne pouvait pas être Dieu possible. "
Les Ravissantes de Romain Puertolas est un excellent roman. Vous allez dire que je manque d'objectivité. Peut-être, sûrement. Cependant, je suis persuadé que cela sera un nouveau gros succès tant cette enquête est aussi originale que bluffante. Mon petit doigt me dit que les serviettes étendues sur le sable chaud seront ravissantes cet été... Je suis prêt à prendre les paris avec toi mon cher Romain Puertolas.
Je conseille bien évidemment à toutes et tous de visiter rapidement votre libraire indépendant préféré. Impatient et curieux de lire vos retours.
4,5 / 5
Je referme ce livre bluffée. C’est un thriller savoureux, une enquête originale très bien construite pour un final surprenant.
1976, trois adolescents disparaissent. Le shérif Golden sera incité par la population à aller enquêter du côté d’une communauté installée depuis un an à la tête de laquelle se trouve un gourou qui se prend pour Jésus. Seulement, il n’a pas grand chose contre eux, à part les réticences des habitants sur cette communauté de hippies.
Le shérif se retrouve vite pris en étau entre la population qui demande à ce qu'on s'intéresse de près à cette secte et le maire qui lui demande de les laisser un peu. Cette communauté paie ses impôts mais aussi les bijoux de sa maitresse et les dépenses de sa femme.
Golden qu’on pourrait croire un peu à côté de ses pompes se révèle être un enquêteur perspicace et son équipe aussi.
Beaucoup de monde se mêle de l’affaire, les médias, le petit ami d’une des adolescentes et même une voyante. L’enquête s'accélère avec des mises en scène et des descriptions cinématographiques pour un final explosif.
C’est un thriller très fin dont les indices sont semés brillamment et le suspense maintenu sur le fil.
J’ai adoré la manière dont l’auteur immisce certaines phrases pour laisser présager que l’enquête prend une mauvaise tournure, les références qui caractérisent l’époque ( le diner, les loubards en veste de cuir, la série Happy day’s, l’apparition des centres commerciaux).
Le style se révèle avec un humour très fin et subtil qui se devine dans le scénario.
Une très belle surprise ! et ce n’est que mon premier de l’auteur !
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