Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
La vie aurait été bien triste s'il n'y avait pas eu le Pop Club de José Artur. Il a convoqué la terre entière devant son micro et chacun, à son écoute, devenait plus éclairé et plus talentueux.
Ce noctambule impénitent a noté, au fil des années, avec cet humour que l'intelligence rend féroce, des remarques, réflexions, considérations en tous genres : « Je me suis marié une fois à l'église, deux fois à la mairie, le reste, à la sauvette » ; « Elle était près de ses sous et moi, encore plus près des siens. » José Artur nous affirme que son chien Fouillis l'a beaucoup aidé. Mais parce que le chien, lui, est modeste, c'est le maître qui s'exprime ici, avec un égal « mordant ». Jamais méchant mais toujours impertinent, insolent et drôle, il a créé au micro un ton nouveau, élégant et disert, où l'humour ne le cède qu'à l'acuité critique. Qu'on en juge !
« Quand je m'ennuie, je me fais un chèque. »
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