80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il marche, c'est l'imprécation rude d'un homme qui ne s'accommode pas plus qu'un Cioran de l'inconvénient d'être né.
Infinies variations sur le thème de la marche, sur tout ce qui fait que le vivant va. C'est à dire tient de la confession, de la chute libre devant témoins, du dérapage régressif semi-contrôlé, de la verbigération rabelaisienne malaxant la pâte à paroles, le tout pris au piège de la bouche. Il joue, c'est l'histoire d'un aveu crucial et sacrificiel. Celui d'un personnage devenu acteur pour continuer à apprendre des textes, des rôles, des pages entières.
Trois monologues, écrits pour la scène comme une métaphore de la vie, de l'écriture et du théâtre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année