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Henri IV a su traduire dans ses lettres, grâce à son génie, son instruction étendue, son intelligence et l'élévation de ses sentiments, ce qui en fait un véritable écrivain. Voilà pourquoi quand il prend la plume, il excelle dans des traits savoureux et un style admirable. Ces lettres particulières peignent, avec une merveilleuse vérité, les fortunes si diverses par lesquelles il a passé, les nécessités qu'il a subies, les impressions qu'il a reçues. Au 19ème siècle entre 1843 et 1876, deux auteurs Jules Berger de Xivrey et Joseph Guadet ont publié en 9 tomes 1843-1876 sous l'instigation du ministère de l'instruction publique, la quasi-totalité de ses lettres dont une analyse approfondie a été faite dans un ouvrage publié par Eugène Jung en 1855. Jean Castarède, qui vient de publier aux éditions France Empire « 1610 L'Assassinat d'Henri IV, Un tournant pour l'Europe ? » à l'occasion du centenaire de la célébration de sa mort, a extrait de cette correspondance multiple, une centaine de lettres d'amour qui montrent à quel point il savait s'enflammer dans sa correspondance, notamment, en écrivant aux trois femmes qu'il a particulièrement aimées : Corisande d'Andouin, Comtesse de Gramont, Gabrielle d'Estrée et Henriette de Balzac d'Antragues, marquise de Verneuil. Dans une introduction, Jean Castarède, rappelle quelle a été la carrière et la vie amoureuse de ce grand roi et rapporte quelques extraits du livre de M. Jung analysant son style.
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