"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
- Un thriller puissant au dénouement inattendu qui interroge, à travers le prisme d'une divinité antique, notre rapport à la nature et ses conséquences.
- Un récit qui alterne entre réalité contemporaine d'une jeune fille en quête d'elle-même dans un petit village de montagne et songes aussi envoûtants qu'énimatiques au coeur d'une forêt ancestrale pleine de secrets Quand Cléa arrive à Ombelle, petit village perdu dans les montagnes, elle compte bien s'y ressourcer après une première année désastreuse en école d'art.
Mais ce qui devait être au départ une quête d'inspiration se mue en quête de vérité face aux nombreux mystères auxquels elle est très vite confrontée?: pour quelles raisons les rares habitants de son âge l'évitent-ils comme la peste ? Pourquoi ne semblent-ils pas pouvoir quitter le village ? Et c'est sans compter les injonctions à ne pas s'approcher de la forêt qu'on lui adresse dès son premier jour.
Les craintes des habitants auraient-elles un lien avec les légendes locales mentionnant l'existence d'une créature ancestrale qui errerait dans les bois ?
Les larmes des nymphes de Sandy Bizzozero est un thriller fantastique young adult, à travers cette intrigue l'autrice aborde beaucoup de sujets avec le deuil, les mythes, l'art la nature, les quêtes d'identités et de soi, la reconstruction, l'amitié et le pardon. Des thématiques traditionnelles, modernes et universelles.
Un thriller dans une ambiance mystérieuse et mystique, une héroïne attachante, un fond originale qui mêle différents genres. Une plongé dans une ambiance gothique envoûtante, ensorcelante, de la réflexion, on rassemble les pièces du puzzle pour une œuvre avec des valeurs positives. Une plume juste et délicate. De belles illustrations de Céli'Art
Confiance de soi, Homosexualité, Homophobie, Amitié, Féminisme et Nature
"Mais mon féminisme, en tout cas, il donne le choix à chacune de s’habiller comme elle le souhaite. En jupe ou pantalon, intégralement couverte ou presque nue. Et il ne décide pas qui est une "vraie" féministe en se basant sur ses vêtements. Le mot "vrai" lui-même, je crois qu’il ne veut rien dire. Au final, tout est une question de perception. Mon vrai, ce n’est pas ton vrai."
"Je n'ai pas toujours été seule. Je me souviens encore de ces nuits où nous dansions dans les rivières, où nous créions de nouvelles fleurs, de nouveaux plumages pour nos oiseaux, juste parce que nous le pouvions. Tout n'était que chants et rires. Je ne connaissais alors pas le goût de la solitude, ni celui, plus amer encore, de l'ennui. J'aimais exister, j'aimais la nature autant qu'elle m'aimait.
De ces bribes du passé, de ce faible écho qu'il me reste de leurs voix, je ne tire nul réconfort. Seuls demeurent une sensation insupportable de manque, un froid qui me tue lentement."
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