"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Suite directe du premier volume Les Invisibles, visages de l'endométriose, les chroniques reprennent les soixante-quatre témoignages de ces femmes vivant avec la maladie. Lisons-les, écoutons-les, voici leurs voix...
« J'ai l'impression d'avoir le corps de quelqu'un de soixante-dix ans ! Au niveau des douleurs, enfin de la digestion, c'est un peu comme si j'avais un petit monstre du Loch Ness qui passe dans mon corps quand je digère. Enfin, c'est ce que je ressens et c'est ce que j'ai dit au médecin. J'ai la sensation d'être pourrie de l'intérieur, que tous mes organes sont pourris. » « J'ai vu plusieurs gynécologues : autant il y en a qui étaient au courant de ce qu'était l'endométriose, d'autres pas du tout. J'ai vu beaucoup de spécialistes qui m'ont dit que c'était du cinéma, que j'exagérais les douleurs, qu'une femme vu qu'elle pouvait accoucher, elle pouvait supporter les règles. » « Si je devais donner un mot à l'endométriose, je dirais que c'est un cancer qui n'en n'est finalement pas un, mais qui fait autant de dégât. C'est-à-dire qu'on ne le voit pas, mais on le sent à l'intérieur. » C'est notre mère, notre soeur, notre copine, notre femme, notre collègue, notre voisine, la femme que nous croisons dans la rue...
L'endométriose et l'adénomyose nous concernent tous.
Ensemble, rendons visible l'invisible !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !