Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Il y a cinq cents ans:huit villageois ont été brûlés sur le bûcher.Il y a trente ans:deux adolescentes ont disparu sans laisser de traces.Il y a deux mois:le vicaire s'est suicidé.Bienvenue à Chapel Croft.Pour le révérend Jack Brooks et sa fille Flo, c'est censé être un nouveau départ. Mais au sein de cette petite communauté unie, imprégnée de superstitions anciennes, la méfiance envers les étrangers est difficile à surmonter. Les secrets du village sont aussi profonds et sombres que la tombe. Et les vieux fantômes qui ont des comptes à régler ne se reposent jamais...
Trois histoires en une.
Les chapitres sont courts et dynamiques. Plusieurs personnes prennent la parole au fil des différents chapitres et ça appuie le fait qu’il n’y a pas qu’une histoires mais plusieurs histoires qui entrent en scène.
Une atmosphère dérangeante créée l’ambiance angoissante de fonds.
On se trouve à Chapel Croft, petit village plein de secrets.
Les personnages sont très bien travaillés, attachants et même troublants. A commencer par le révérend Jack Brooks qui arrive dans ce village accompagné de sa fille Flo, en trainant derrière lui des évènements dramatiques et ignorés de tous. Dès le début de sa mutation dans le village il s’attire les foudres des villageois. Démarrer ainsi alors qu’on ne sait déjà pas ce qui s’est passé lors de son précédent poste de pasteur, ça ne va pas engager une relation saine ou apaisée.
De plus, très vite apparaissent des faits alarmants et étonnants pour un aussi petit village : la disparition d'un vicaire ainsi que celle de deux adolescentes trente ans en arrière, un incendie volontaire, un faux suicide, des apparitions fantomatiques. Il y est questions de femmes et enfants maltraités. Ah ! J’en oubliais presque le plus important, on y commémore les martyres du Sussex, brûlées pour sorcellerie en confectionnant des poupées de brindilles, les incandescentes. D’où le titre. Cette partie historique est intéressante, il s’agit de la répression contre les protestants sous le règne de Marie La Sanglante au XVIe siècle. Ambiance presque gothique par moments.
Disons que le côté exagéré avec ces multiples rebondissements, peut ne pas plaire à tout le monde. Ils sont assez rocambolesques et finalement pas ou trop peu crédibles. C’est ce que j’ai, de mon coté, trouvé excessif dans ce thriller.
Par contre la religion et ses cotés excessifs y sont bien abordés. Ses débords, que ce soit au XVIe siècle ou ces dernières décennies, sont bien exposés.
Ce qui sauve la lecture c’est qu’on se trompe plusieurs fois ; on pense avoir la solution, mais non, ça rebondit encore et encore. Intrigue et rebondissements sont au rendez-vous. Et la fin a été insoupçonnable pour moi.
Et ma petite cerise sur le gâteau ce serait d’ajouter que c’est bien une autrice anglaise qui a écrit ce livre, pas de doute.
Sang trouble - Robert galbraith
L'attention aux détails de JK Rowling est impressionnante, son style toujours agréable, les intrigues sont malignes, les personnages attachants, c'est vraiment 900 pages de plaisir !
Bien évidemment vous devez avoir lu les précédents pour vraiment vous immerger dans ce pavé.
J’ai eu très très grand plaisir à « enfin » lire ce dernier opus. Je suis une grande fan de Strike et Robin et j’ai eu un bonheur sans fin à suivre leurs aventures personnelles et leurs enquêtes.
A eux seuls, les plus de 900 pages se lisent comme une liste de courses
Un merveilleux moments de lecture.Je mets à grand regret, 4 étoiles seulement car beaucoup de longueurs qui auraient pu être éviter, essentiellement « les livres » dans le livre qui m’ont semblé longues et pas franchement utiles.
c'est avec un très grand plaisir que l'on retrouve le duo dans un "cold case" complexe avec en plus leurs autres enquêtes aux protagonistes un peu « déjantés »
On s'attache très facilement aux deux personnages principaux : robin et s
Strike. Hâte de connaître la suite de leurs aventures.
Heureuse de retrouver Strike et Robin dans une enquête tentaculaire qui nous transporte au fin fond de la culture anglaise. Les personnages, l’intrigue et les milieux explorés sont passionnant
Disparitions, meurtres, empoisonnements, mensonges...
Où l'on retrouve avec plaisir Robin et Cormoran qui tentent de résoudre une affaire non élucidée vieille de quarante ans.
Bienvenue à Chapel Croft, petit village du Sussex. Au menu, 8 martyrs protestants brulés vifs au XVIème siècle, deux jeunes filles portées disparues au début des années 90 et un pasteur qui se suicide aujourd’hui : ça fait beaucoup pour ce petit patelin dans lequel la pasteure Jack Brooks et sa fille adolescente Flo débarquent, sans enthousiasme (Jack a été mutée d’office par son diocèse). Très vite, elles sont sujettes à la méfiance, voire à l’hostilité du village. Un village où les secrets semblent pourrir et métastaser depuis bien longtemps. Apparitions inquiétantes, maisons abandonnées, agressions, Chapel Croft réserve à Jack et Flo bon nombre de vilaines surprises.
« Les Incandescentes » est le quatrième thriller de CJ Tudor, il met en scène une femme pasteur (oui, Jack et le diminutif de Jacqueline) en tant que narrateur. D’emblée sympathique, avec sa mentalité progressiste et son humour so british, on est quand même intrigué car il y a beaucoup de mystère dans le passé de cette jeune femme : le décès brutal de son mari, cet ancien détenu qui la cherche partout de façon obsessionnelle à Nottingham, son ancienne affectation. Les petits flashes back ici ou là ne nous apportent que peu (et tardivement) des informations. L’intrigue est assez claire, et facile à suivre, les chapitres courts s’enchaînent bien et on dévore ce roman sans aucune difficulté. La fin laisse malgré tout un sentiment un peu ambivalent, le coup de théâtre final semble un tout petit peu trop gros. Il est totalement imprévisible, c’est certain, mais je ne suis pas certaine d’avoir été convaincue à 100 %. Il faut dire que dans les 10 derniers chapitres, les révélations s’enchaînent, les petits rebondissements aussi et ça se complique. Jusqu’ici on comprenait tout, et d’un seul coup ça devient plus confus, à force de retournements de situation. Comme dans ses autres romans, « Les Incandescentes » est mâtiné de surnaturel, plus que dans « L’Homme Craie » mais bien moins que dans « La Disparition d’Annie Thorne ». Je ne sais pas si ici le parti-pris est très heureux : C.J. Tudor lance quelques pistes surnaturelles à base de fantômes mais ne les exploite pas réellement ensuite, ça donne une impression un peu bizarre d’inachevé. Mais tous ces petits bémols ne sont pas grand-chose à coté du pur plaisir de lectrice de thriller que j’ai éprouvé avec « les Incandescentes », j’ai enchaîné les chapitres, me suis attaché à Flo et à sa mère jusqu’au dernier paragraphe, j’ai frémi d’angoisse devant les menaces qui se profilaient, j’ai aimé détester certains personnages, bref, voilà un roman noir qui fonctionne « à fond les ballons » ! Tout cela c’est grâce au talent d’écriture de C.J. Tudor, auteure de thriller britannique sans prétention, encore un peu méconnue, mais diaboliquement efficace.
Jack Brooks, femme pasteur veuve, et sa fille Flo âgée de 15 ans, quittent Nottingham, suite à sa mutation pour rejoindre le petit village de Chaptel Croft dans le Sussex.
Elles découvrent un village chargé d’histoire. Entre 1555-1558, lors de la persécution martiale, 8 villageois furent brûlées vifs.
L’auteur installe doucement l’histoire et les personnages. On découvre l’histoire locale ancienne mais aussi plus récente avec la disparition étrange en 1990 de deux jeunes adolescentes Merry et Joy alors âgées de 15 ans.
Une fois que tout est en place, l’histoire s’enchaîne avec un suspens intenable. On pense tout savoir, tout comprendre et si l’auteur se jouait de nous ?
L’histoire s’imbrique parfaitement, l’auteur arrive à nous étonner et à nous surprendre à chacun des chapitres.
On adore le duo que forme Jack avec sa fille Flo. Jack le pasteur à l’écoute, mais qui souhaite avant tout protéger sa fille de tout et tout le monde, on sent qu’elle a eu une enfance et adolescence difficile, même si elle livre très peu d’éléments en début de roman. Flo, sa fille, qui a l’insouciance de son âge, ne voit le mal nul part, veut absolument s’intégrer dans son village et se créer rapidement de nouvelles amitiés.
La fin du roman est encore plus phénoménale que le reste de celui-ci, une fin en apothéose que l’on ne peut qu’adorer !
Pour résumer, j’ai adoré cette nouvelle lecture, premier roman de cet auteur que je lis, je vous le recommande, un coup de cœur !
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