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Les gens de Saint-Jean ; des habitants d'un quartier populaire de Beauvais racontent soixante ans d'histoire

Couverture du livre « Les gens de Saint-Jean ; des habitants d'un quartier populaire de Beauvais racontent soixante ans d'histoire » de  aux éditions Magellan & Cie
Résumé:

ARRIVÉES, RACINES « Mon père, il est arrivé à Beauvais en 1922. Mes parents étaient belges. Ils avaient repris une petite ferme à Cagny-sur-Thérain à côté de Formerie. Puis mon père, il a repris la ferme. C'était pas tout à fait le quartier Saint-Jean, c'était la butte Saint-Jean.
Mes parents,... Voir plus

ARRIVÉES, RACINES « Mon père, il est arrivé à Beauvais en 1922. Mes parents étaient belges. Ils avaient repris une petite ferme à Cagny-sur-Thérain à côté de Formerie. Puis mon père, il a repris la ferme. C'était pas tout à fait le quartier Saint-Jean, c'était la butte Saint-Jean.
Mes parents, ils avaient cinquante vaches à lait. Ma mère, elle a accouché tous les enfants à la maison. Nous, on est tous nés làbas, on naît à la ferme, chez soi, c'était comme ça. » Jean-Pierre Deg.
« Je suis née à Beauvais. Mes parents habitaient le centre ville, et puis bon. on est des sinistrés de la guerre de 40.
Quand Beauvais a été démoli. oui, la guerre. on s'est retrouvé là-haut. J'y étais d'abord avec mes parents, parce qu'il y avait une briqueterie qui ne fonctionnait plus, les logements étaient en état moyen, mais habitables. Là, je suis entrée cité du Paradis en tant que jeune mariée. On était des jeunes mariés et il fallait trouver un logement. On s'est mariés en 57, on n'a eu que du bonheur. » Mauricette L.
« Elle est importante cette briqueterie. C'était l'immigration italienne dans les années 20, 30, 40. C'était une bonne communauté, qui travaillait, qui se déplaçait. Ils étaient mobiles et ils travaillaient dans toutes les carrières. » Pascal D.

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