80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'utilisation des enquêtes PISA comme outil de régulation des politiques éducatives suscite débats et controverses sur la scène scolaire internationale.Tous les trois ans, PISA évalue les compétences des élèves au terme de leur scolarité obligatoire puis compare les résultats des pays participants dans le but de tirer des conclusions sur leurs systèmes éducatifs et d'identifier d'éventuels facteurs de succès. L'enjeu est de déterminer dans quelle mesure les élèves disposent des connaissances et des outils nécessaires à leur insertion dans la société moderne et au développement de celle-ci.Suivant le même principe, la Suisse s'est soumise à une enquête PISA supplémentaire à l'échelle nationale afin de disposer de données plus approfondies sur chacun de ses cantons. Nous nous intéresserons à la Suisse romande, où la revendication de l'objectif de promotion de modèles efficaces et équitables peine à faire l'unanimité.Qu'en est-il des cantons du Valais et de Genève en particulier, où les résultats des élèves apparaissent très contrastés?Cet ouvrage propose une analyse des quatre premières enquêtes PISA dans ces deux cantons afin de déterminer d'où proviennent ces différences de performance, d'identifier les raisons qui expliquent le scepticisme existant au sujet de PISA et d'établir d'éventuelles relations entre les résultats PISA et certaines mesures appliquées au plan des politiques éducatives régionales et cantonales.Sonia Revaz est doctorante à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève (FPSE). Inscrite dans un projet du Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS), elle prépare actuellement, sous la direction de Georges Felouzis et Barbara Fouquet-Chauprade (FPSE, Groupe genevois d'analyse des politiques éducatives GGAPE), une thèse de doctorat sur les réformes de l'enseignement secondaire obligatoire en Suisse Romande.Préface de Siegfried Hanhart
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