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La bientraitance est le contraire de la violence, mais toutes les deux émergent d'une production humaine.
La finalité de l'être humain en tant que vivant est de vivre et, pour rester vivant, il faut les soins des autres. Pour les enfants, leurs vies dépendent de la bientraitance de leurs parents et des adultes de leurs communautés. Les animaux humains disposent des ressources naturelles pour aimer, soigner et protéger les enfants, en s'entraidant mutuellement. La violence humaine émerge de façon organisée, quand les croyances d'un groupe deviennent plus importantes que le respect de la vie des personnes appartenant à un autre groupe.
Dans ce contexte, des êtres humains sont agressés et victimes de traumatismes très souvent impensables et inimaginables. Le chemin de l'exil est une des alternatives pour protéger leur vie. Ainsi, il y a des réfugiés qui doivent quitter leur pays, mais il y a aussi des femmes qui doivent s'exiler dans leur propre pays pour se protéger de la violence organisée des hommes. Les enfants, les victimes les plus vulnérables, se trouvent dans les deux groupes.
Heureusement, ils ont leurs mères qui malgré leur souffrance essaient de les soigner et de les protéger. Ces femmes sont des mères résistantes-résilientes. Leurs témoignages montrent que l'essence de l'humain n'est pas la violence mais l'amour. Les pratiques des professionnels qui les soutiennent sont une preuve de l'altruisme humain et de la valeur thérapeutique de la solidarité.
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