80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Un grand roman d'amour sur l'amour, cet unique nécessaire qui demeure lorsque tout est perdu. »Pavel Lounguine, Le Journal du Dimanche1772, Saint-Pétersbourg : Catherine de Russie offre à son jeune amant le comte Zadonski un traité rédigé de sa main, De l'art d'aimer et d'être aimé. Un siècle et demi plus tard, le descendant du comte, sa femme et ses deux filles fuient la Russie devenue soviétique, emportant avec eux le manuscrit transmis de génération en génération.De Saint-Pétersbourg à Istanbul, du Caire à Paris et à Londres, le destin des Zadonski va se mêler à celui du xxe siècle, avec ses secrets, ses grandeurs, ses déchirements. Epouse d'un noble anglais, Antonina partagera les combats de Churchill et de la France libre. Anastasia, sa soeur, ne résistera pas à l'appel du pays natal et subira les horreurs du stalinisme.Mais, par-delà les tempêtes du siècle, les histoires d'espionnage et d'évasion, le sésame de leurs destinées demeurera ce traité De l'art d'aimer.Ecrivain d'origine russe, témoin et acteur des bouleversements de son pays, Vladimir Fédorovski est l'auteur de nombreux ouvrages traduits dans vingt-deux pays (dernier paru : Le Roman de Saint-Pétersbourg, Le Rocher, 2003). Il renoue ici, pour nous conter cette saga de notre temps, avec l'inspiration de la grande littérature russe.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année