"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une écriture puissante, des paysages impressionnants et un sens du suspense glaçant ont fait d'Asa Larsson une figure incontournable du polar scandinave. Trois fois récompensée par le Prix du meilleur roman policier suédois, traduite dans trente pays, elle poursuit sa série-culte dans les pas de son héroïne Rebecka Martinsson. Sur une petite île du nord de la Suède, on découvre coup sur coup deux cadavres. Si le premier décès est récent, l'autre remonte à... il y a plus de cinquante ans. Quel est leur lien ? Et où s'arrêtera ce sinistre décompte ? Criminalité organisée, escroquerie immobilière, prostitution... Rebecka remonte une piste aux ramifications inattendues et multiples, loin d'imaginer qu'elle va lui révéler de terribles secrets sur l'histoire de sa propre famille.« Sur l'écran de vos nuits blanches, voici de nouveaux cauchemars. » L'OBS
Dernier opus lu avec Rebecka Martinsson, un excellent tome, nous plongeons directement au cœur de l'histoire, on est tenu en haleine même si un peu moins de tension et de suspense, un roman d'ambiance, les personnages toujours très bien construit et Rebecka est attachante. Un peu d'actions, tout s'enchaine rapidement dans cette histoire nerveuse.
Je sais que la série était adapté, j'espère le découvrir un jour sur Arte mais si vous avez envie de la découvrir je crois qu'elle est dispo sur M6+.
"Elle arrivait pris rendez-vous avec la mort. Et elle la trouverait bien sur son chemin, le jour qu'elle s'était fixé en secret, mais pas de la manière prévue."
"Le fait d'avoir un chien lui parut soudain absurde. Les humains retenaient d'autres animaux prisonniers, en faisaient leurs esclaves et les traitaient selon leur bon plaisir. Tout cela était répugnant."
La dernière enquête de Rebecka Martinsson et d’Anna Maria Mella … Je n’avais pas été aussi peinée de devoir dire au revoir à des personnages depuis ma lecture de la dernière enquête de Kouplan chez Sara Lovestam… Comme pour Là où se trouve le cœur de Sara Lövestam, j’ai lu Les crimes de nos pères aussi doucement qu’il était humainement possible de le faire et tous les coups furent permis pour retarder le plus possible l’arrivée de la dernière page ! Projet oh combien délicat puisque les deux Suédoises ont également en commun un talent fou pour nous empêcher de savoir comment lâcher leurs intrigues. Asa Larsson donne ici encore une véritable existence à ses personnages. Leur évolution est travaillée, intelligente, et les enquêtes ont un je-ne-sais-quoi de juste, de « vrai », qui fait reposer l’édifice du roman sur une base extrêmement solide. Rebecka va me manquer, Anna Maria encore plus ! Mais une chose est sûre, même sans elles, je serai au rdv du prochain roman d’Åsa Larsson.
Dernière enquête en date de la bien connue suédoise Asa Larsson.
Je ne qualifierais pas "Les crimes de nos pères" de suspense glaçant, ni d'avoir une écriture puissante comme l'indique la 4ème de couv., mais j'ai passé un très bon moment immergée dans les forêts, les lacs, la neige, les coutumes locales et la rudesse de l'ambiance nordique.
Tout commence par une tentative de suicide avortée par un coup de fil provenant du village natal de Ranghil, infirmière fraîchement retraitée ; village qu'elle a abandonné il y a plus de trente ans. Henry, son frère alcoolique qu'elle n'a plus vu depuis son départ de l'île, ne donne plus signe de vie.
Très vite le tout est relié à une disparition, une affaire datant de plus de cinquante ans.
Entre en scène plusieurs personnages attachants et plein de ténacité qui vont l'accompagner, elle et le fils du second cadavre disparu à l'été 1962. Un médecin légiste pugnace, se battant avec une maladie qui ne lui laisse plus beaucoup de temps devant lui. Une jeune procureur Rebecka, mise momentanément sur le banc de touche par sa nouvelle hiérarchie, rebelle mais efficace. Un ancien policier nouvellement à la retraite. Et Börje, le fils boxeur. Chacun traine un bagage de vie qui pèse son poids et les freine parfois.
L'avancée est semée d'embuches et nous prend bien la tête.
Ah! J'oubliais, un peu de sentiments amoureux pour emballer le tout.
Un bon polar nordique à dévorer sans faim.
Un meurtre moderne et un cold case s'entremêlent dans les paysages scandinaves à couper le soufle.
Un bon cru!
Les paysages enneigés sont un personnage à part entière de cette incroyable enquête à tiroirs oú la procureure Rebecka Martinsson est confrontée au crime organisé et aux affairistes attirés par la fortune d'une ville minière en pleine croissance.
Que faut-il savoir sur ce thriller haletant ?
Une écriture puissante, des paysages impressionnants et un sens du suspense glaçant ont fait d’Asa Larsson une figure incontournable du polar scandinave. Trois fois récompensée par le Prix du meilleur roman policier suédois, traduite dans trente pays, elle poursuit sa série-culte avec ce dernier opus.
L'histoire ;
Sur une petite île du nord de la Suède, on découvre coup sur coup deux cadavres. Si le premier décès est récent, l’autre remonte à... il y a plus de cinquante ans. Quel est leur lien ? Et où s’arrêtera ce sinistre décompte ? Rebecka remonte une piste aux ramifications inattendues et multiples, loin d’imaginer qu’elle va lui révéler de terribles secrets sur l’histoire de sa propre famille.
J'ai été happée par cette enquête entre prostitution, trafic, escroquerie et règlements de compte. Les personnages sont croqués avec maestria.
Sixième volet, et dernier à paraître, des aventures de Rebecca Martinsson, Procureure à la chambre, que Asa Larson a choisi avec Les crimes de nos pères de placer au cœur de l’histoire familiale de son flic de polar.
Ragnhild, à la retraite depuis quelques mois, n’a rien qui la retient à la vie et décide d’en finir en maquillant son suicide en accident. Pourtant, un coup de téléphone va bouleverser complétement ses plans.
On l’informe que son frère, qu’elle n’a pas revu depuis des lustres, n’a plus donné signe de vie depuis plusieurs jours. Elle décide de surseoir à son projet pour se rendre à son domicile au cœur d’une île perdue. Dans cette maison, elle découvre son frère Henry Pekkari mort. Mais, par un concours de hasard, elle trouve aussi un cadavre dans le congélateur placé là depuis de très nombreuses années.
Rebbeca s’empare de cette enquête. Seulement, les liens de parenté sont forts entre cette maison, les souvenirs et elle. L’enquête commence en interrogeant sur les liens qui relient ces deux morts violentes.
Moins roman policier que roman d’ambiance, Asa Larsson plonge son lecteur dans la rudesse des paysages du Grand froid et la froideur des rapports qu’entretient Rebecca avec son entourage.
Son personnage, sorte d’anti-héros au caractère rugueux et peu conciliant, fait corps avec cette enquête qui va déséquilibrer l’ensemble qu’elle s’était attachée à construire.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2022/12/12/asa-larsson/
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