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Les lendemains de la deuxième guerre mondiale ont vu d'une part l'existence non négligeable des États arabes grâce à leurs ressources naturelles. D'autre part, les anciennes puissances occupantes n'avaient pas confiance en la justice de leurs anciennes colonies. Dans les années cinquante et soixante, les pays arabes ont subi quelques sentences arbitrales parfois maladroites, dont l'issue leur fut défavorable. Ces sentences furent mal acceptées par ces États. Après ces sentences, l'arbitrage international a été mal vu par les pays arabes. Les États arabes ont cherché donc à maîtriser le règlement des différends relatifs à leurs investissements, en renforcent leur système juridique interne ainsi que leur relations inter-arabes. Cependant, à la suite de la modernisation intervenue sur la scène internationale tout au long des années quatre-vingt, l'arbitrage est devenu le mode normal de règlement des différends en matière d'investissement international. Face à la dimension universelle de ce mode de règlement, les pays arabes n'avaient pas d'autre choix que de changer leur attitude en ouvrant leurs portes à l'arbitrage pour attirer le maximum d'investissements étrangers.
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