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Novembre 1936. Sigfrid vient de succomber à une crise cardiaque. C'est le choc pour Signe. Hilma, veuve à 35 ans, va devoir élever seule sa fillette, mais c'est aussi pour elle la fin du calvaire conjugal. Aux yeux d'Hilma, avec l'éveil sexuel de sa fille se profile la menace de l'atavisme paternel. En écho à l'inquiétude de sa mère, Signe, enfant trop solitaire, vit la métamorphose de son propre corps comme une angoisse de plus. Et en contrepoint de ces années d'ombre intérieure pèse l'ombre que la Seconde Guerre mondiale étend jusque sur la Suède, malgré sa neutralité. Mais il y a en Signe une force, un indomptable appétit de vivre.
Décidément, bonne pioches dans cette solderie !
Voilà un bon roman suédois. Quelques répétitions, mais l’histoire est prenante.
C’est le deuxième titre d’une trilogie, mais ça ne gêne en rien la lecture. Je vais tenter de me procurer les deux autres pour savoir ce qui précède et ce qui suit.
Là, Hilma vient de perdre son mari, professeur reconnu, mais qui avait une maladie mentale cachée à tout le monde. Elle se retrouve seule avec Signe, sa fille de onze ans. On est en 1936 en Suède, et l’action se déroule sur une dizaine d’années.
Hilma est plutôt rigide et coincée. Le spectre de l’atavisme la hante. Signe, en effet est hyperémotive et fragile.
Si la mère est agaçante, je lui ai trouvé bien des circonstances atténuantes (à confirmer dans le premier livre)
La fille, elle, est attachante et j’aimerais vraiment savoir ce qu’elle devient dans le troisième).
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