80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il n'y a parfois, entre la mort et l'innocence, que l'épaisseur d'une feuille de papier crépon...
On se méfie d'un vieux pervers qu'on rencontre dans un concert rock, mais pas d'une petite fille aux yeux dorés et de sa jolie maman. On ne prend jamais au sérieux les légendes urbaines, pas plus que les fillettes amoureuses de leur beau-père. On ne regarde jamais au-delà des miroirs, dans les familles bourgeoises où les enfants têtus essayent de s'affirmer. Et qui se soucierait d'une groupie de quinze ans parmi des milliers d'autres ?
Un peu, beaucoup, à la folie... Contre l'amour obsessionnel et l'innocence, on ne peut rien. Surtout quand s'enclenche la mécanique de l'agonie, huilée par le sang, sous le grincement du vice et des illusions perdues.
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