80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
À une époque dominée par le rôle croissant d'un nombre réduit d'acteurs disposant d'un pouvoir considérable, la question du maintien d'un modèle de développement, conçu et initié par les populations, se pose.
Deux conceptions coexistent dans ce secteur : celle de l'économie sociale d'une part, qui s'ancre dans l'histoire des coopératives ; celle de l'entrepreneuriat social d'autre part, qui s'inscrit dans une volonté de moralisation du capitalisme, et fait actuellement une entrée fracassante dans le monde associatif. Dans les deux cas cependant, un certain « réalisme » voudrait, au final, que les règles ne soient que des contraintes techniques, légitimées par une science souvent consentante : règles de production, de consommation, gestionnaires, commerciales, juridiques. De fait, les coopératives bancaires n'ont pas échappé à la crise, et le capitalisme peine à se moraliser. Pour sortir de cette forme d'asservissement, de nouvelles pratiques sociales et culturelles (échanges économiques de type « circuit court », usage de monnaies complémentaires, etc.) mettent en avant le service et la proximité des producteurs et des usagers, et (ré)inventent des savoirs sociaux.
C'est sur ces fondements, qu'une véritable économie sociale et solaire peut, et doit, être repensée.
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