Ce livre qui, parce qu'il serre de près la réalité historique locale de la cité et du terroir d'Avignon, pourrait être qualifié de récit, devient néanmoins un roman par l'unité d'action qu'il développe tout au long de ses pages.
Plus même, ce n'est pas n'importe quel roman ! L'auteur a su, par des touches délicates ajoutées les unes aux autres, nous présenter un vrai roman d'amour avec ses grands sentiments, ses doutes, ses explosions, ses épilogues pathétiques et, enfin, son étonnante conclusion, (roman du terroir comme on les aime). Il a voulu, dans une démarche délibérée, opposer la tolérance à l'intolérance, faire coexister une certaine idée de l'homme avec la lutte certaine des classes.
Il n'y a pas d'ambiguïté, ce roman, à la sensibilité à fleur de peau, devrait figurer parmi les grandes histoires d'amour du siècle.
Hubert Legrux Correspondant du quotidien « La Provence » L'auteur a raflé, épluché, dans l'immense bibliographie du personnage napoléonien, les actes et les gestes aptes à donner une matière solide à son roman. Il sort du cadre strict du récit historique pour donner, émettre des visions amples et nouvelles touchant à la personnalité de l'empereur, à l'incidence de son extravagante réussite sur les générations suivantes.
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