80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un été de cure avant-guerre, quatre enfants : Vincent et Béatrice Sauvageot, le frère et la soeur, Louis Ledieu, futur écrivain, roi de la grimace, face à Consuelo Philipon, l'horrible petite Philipon comme l'appelle tout l'hôtel. Laide, riche, blasée, elle les nargue et elle a un secret. Pour le lui arracher ils la condamnent à mort, mais elle leur coupe le souffle. Un souffle qu'ils essaieront de reprendre tout au long de leur vie devant cette tête qui fait semblant d'être un coeur, les séduisant tour à tour, les brouillant, les réconciliant, tandis qu'ils tentent de traquer ce secret qui les obsède encore à l'âge mûr et jusqu'à l'heure de sa mort, puisqu'on l'enterre aujourd'hui. A travers la forme classique d'un Requiem, chagrin et rire se renvoient la balle, preuve que la douleur n'est pas une et que la mort n'est pas de tout repos.
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