80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Au décours de la maladie d'un des enfants, la famille Nsimba découvre qu'elle est atteinte par le VIH. Coup de massue pour le jeune couple sans histoire, marié depuis cinq ans et qui a passé le test avant le mariage. Soupçons, haine, culpabilisation, impuissance. Les antirétroviraux sont là, mais ils n'ont pas les moyens de payer ce traitement. L'enfant meurt. La femme ne s'en remettra plus. Pendant qu'elle s'enfonce, l'homme remue ciel et terre pour sortir la tête de l'eau. Que d'obstacles sur son chemin : honte, misère, stigmatisation, rejet. Mais il est déterminé. Invité à des conférences, il témoigne publiquement de son état. Il a cependant lui aussi des moments de découragement, sans parler de son fils resté dont il doit gérer et apaiser les émotions et la douleur. C'est au coeur de ce combat et au milieu de ces deuils qu'il apprend que, bientôt, l'accès aux antirétroviraux sera gratuit.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année