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Nés l'un et l'autre dans la nuit du 4 au 5 novembre 1902, à cinq heures d'intervalle, Alfred Métraux et Pierre Verger ont une passion commune pour les cultes d'origine africaine transplantés en divers pays au temps de l'esclavage. L'ethnographe consacrera un livre au Vaudou haïtien, le photographe s'attachera aux Orisha et à la fidélité des nègres bahianais aux rites ancestraux célébrés dans les candomblés. Lorsque leurs deux « vies vagabondes » ne se croisent pas, ils échangent de nombreuses lettres ayant pour dénominateur commun une métaphore constante : celle du « Pied à l'étrier ». Dans cet échange épistolaire, les amis fidèles dont les « grognards » du Trocadéro ne sont pas oubliés : Roger Bastide, Michel Leiris, Gilbert Ronget, etc. ; ainsi que Lydia Cabrera, spécialiste de la Santeria, version cubaine du culte des Orisha.
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