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Le Paysage de la langue poursuit le chemin ouvert avec Le Mot que je porte, paru en janvier 2004 aux Éditions Grèges. Ce chemin tente de forcer l'oubli que la langue porte en elle, de suivre les murmures silencieux de l'histoire contenus dans les mots, la perte des paroles qui n'en sont pas revenues. Ce livre s'est écrit dans la direction de ce lieu ouvert dans le langage : l'absence de ce qui a été, la volonté tenace d'habiter ce qui est - l'un et l'autre sont ce lieu et sont indissociables, d'où la partition du poème en deux séquences ayant un titre commun : « locus ». Ce livre est la proposition de cet espace.
Le Paysage de la langue inclut des interventions à l'encre de Philippe Guitton et Thomas Pesle.
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