80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans les archives de la bibliothèque municipale de Saint-Denis, en consultant les journaux des années 1930, en particulier «L'Humanité», on se rend compte de l'importance de Gramsci comme figure emblématique de la lutte antifasciste. Il n'est pas un jour, sans que son nom ne soit mentionné et qu'un appel ne soit publié pour se réunir et manifester afin d'obtenir sa libération. Henri Barbusse et Romain Rolland, au sein du comité antifasciste, ne cessent de rappeler la nécessité d'agir pour la cause de la liberté à travers le sort fait à Antonio Gramsci : la mobilisation des forces démocratiques internationales, à cette époque, était comparable à celle qui, plus tard, appellera à libérer Mandela. La forme théâtrale me paraît la plus adaptée pour que des lycéens ou des adultes partagent l'aventure d'un homme qui, malgré les souffrances, la misère, la maladie n'a eu cesse de consacrer sa vie au bien-être de l'humanité.
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