Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
«J'ai commencé le tournage du Navire Night le lundi 31 juillet 1978. J'avais fait un découpage. Pendant le lundi et le mardi qui a suivi, du 1?? août, j'ai tourné les plans prévus dans le découpage. Le mardi soir, j'ai vu les rushes du lundi. Sur mon agenda, ce jour-là, j'ai écrit : film raté.»
On pourrait dire, pour commencer, qu'il y a l'amour.
Entre un homme et une femme, qui s'aiment de loin, du bout de la ligne, de téléphone et de la vie. Qui s'aiment à la folie, c'est peut-être même ça la clef, peut-être, la folie.
Entre un homme et une femme, qui ont fait un bébé. Pendant la guerre. Et cette petite fille survit, mais pas eux. Sûrement pas eux. Trois versions, trois lieux. Ce qui est vrai, c'est l'émotion, le reste... Aurélia Steiner est folle peut-être. Ou peut-être pas. Elle écrit.
Toute la poésie des mots de Marguerite Duras, dans son rythme inimitable, dans cette vision de désespoir et de sensualité. Des flashes, des visions, une violence d'une douceur parfois insoutenable.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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