Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
"Nicolas II se passionna pour la peinture italienne bien sûr mais aussi la peinture flamande avec une prédilection pour les scènes de genre à la Teniers.
Son fils Paul-Antoine, lui, jettera son dévolu sur l'école espagnole accumulant Murillo et Zurbaran. En 1870, le prince Paul III décide de vendre la collection familiale à la Hongrie qui achète ainsi d'un seul coup plus de six cents tableaux d'une collection qui en comptait plus du double à la mort de Nicolas II... Ce sont eux qui forment encore aujourd'hui l'essentiel des oeuvres exposées au Musée des Beaux-arts de Budapest.
Le visiter c'est parcourir l'Europe au centre même de l'Europe".
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