"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« 58,5 kg (mais post-Noël), unités d'alcool : 14 (mais compte en fait pour deux à cause de soirée de nouvel an), cigarettes : 22, calories : 5 422. » À presque trente ans, Bridget Jones consigne ses déboires amoureux dans son journal. Elle sort trop, fume trop, boit trop, compte les calories et fantasme sur son play-boy de patron. Sa hantise : finir vieille fille. Ses objectifs : perdre du poids et trouver son prince charmant. L'irrésistible confession de la célibataire la plus célèbre de la planète.
Une femme forte et délirante
J'ai lu assez rapidement ce premier tome qui m'a beaucoup plu. C'est un genre (la chick-lit) que j'aime beaucoup par sa simplicité (enfin... les histoires de cœur ne sont jamais vraiment simples dans les livres...) et son humour. Le personnage de Bridget Jones nous apporte tous les conseils à suivre – ou ne pas suivre – afin d'être une femme comblée à la trentaine. Alors que finalement il n'y a pas de recette miracle pour cela, mis à part s'accepter telle que l'on est, avoir de bons amis sur qui compter et des parents à la parole juste. Bon ok... Tout ne match pas forcément dans tout ça. Et c'est ce qui est intéressant dans ce que nous montre Bridget Jones – Helen Fielding – dans ce journal : malgré tout ce qui peut nous arriver de bien ou de moins bien en tant que femme célibataire ou presque, nous vivons et survivons.
Au cœur de ses pensées dans ce journal
L'écriture particulière proposée dans ce journal intime rend la lecture simple et sans faux semblants. Les sentiments de Bridget Jones sont étalés sur son papier, peu importe les humeurs de notre écrivaine. J'ai beaucoup ri durant ma lecture du fait d'une Bridget authentique qui nous livre ses pensées les plus intimes – et les plus décalées parfois. Helen Fielding nous propose un personnage aux multiples péripéties face à une mère en pleine crise de la cinquantaine, des amis complètement barges et des amants pas toujours corrects envers notre Bridget. En somme, un personnage plus qu'attachants et touchant qui peut facilement nous ramener à notre propre vie de femme.
Un très bon premier tome dont il me tarde de lire la suite !
Au moment de sa sortie, il a fait le buzz. La façon de raconter la vie d'une trentenaire sympathique, un peu ronde, un peu alcoolique, fumeuse invétérée, gaffeuse de première, aimant les bad boys, une anti-héroïne en somme, était ultra libérateur.
Je le clame haut et fort: Bridget Jones, je t'aime!
Le livre d'une époque
Le journal de Bridget Jones... Ralala quel bonheur de se plonger dans ce livre qui me rappelle le film même si je l'ai vu il y a un bout de temps.
On se prends à rêver d'être dans la peau de Bridget. De l'humour à gogo et de la romance toute gentilette. Il est même difficile de se retenir de sourire et de rire à ce récit.
Par contre, on se rends compte que certaines choses n'ont pas changées malgré le fait que le livre date de 1998.
En bref, une hisoire drôle et sans chichi à lire et à relire pour le plaisir.
C'est un livre culte de mon adolescence. C’est un livre facile à lire, très léger et très divertissant. Lorsque j'ai commencé à lire ce livre, je l'ai trouvé mal écrit et un peu cru, limite c’est un style télégraphique qui, au début, m'a un peu surprise et dérangé. Puis, rapidement, on plonge dans l’univers burlesque et girly de Bridget Jones où les scènes sont délirantes et burlesques. Le style d’HELEN FIELDING n'est pas extraordinaire, mais son rythme est endiablé, il nous tient en haleine jusqu’à la fin de ce livre. J'aime dans ce roman l’univers amusant et cocasse.
Hyper drôle, le journal intime de Bridget, avec ses joies, ses peines, ses kilos en trop et ses amis déjantés. J'adore! A lire et relire les jours où on n'a pas la pêche!
Venez faire connaissance avec la célibataire anglaise la plus déjantée de toute l'histoire de la littérature. Vraiment vous pouvez passer un bon moment avec cette lecture drôle, pleine d'émotions.
Si l'oeuvre de fiction est censée nous faire rêver en créant des personnages montés de toutes pieces, alors ce roman ne joue pas le jeu.
"Cher journal, quelle chemise choisir pour plaire au voisin d'en face: petits cœurs roses ou petites étoiles bleues? Et mon décolleté où doit il tomber?"
Il n'y a rien de fictif à ce type de personnage, il existe -malheureusement- bel et bien, et je n'avais aucune envie de le recroiser dans mes fictions.
Si seulement le livre cherchait à déduire une morale ou critiquer un fait de société. L'auteur présente le tout comme un acte tout ce qu'il y a de plus acceptable et légitime, voire amusant.
Alors oui c'est drôle par moment (et je dis bien par moment) mais est ce donc le but ultime de toute création de nos jours? C'est bête, c'est dégradant, c'est sexiste mais c'est tellement tellement drôle. Hop! on fourre ca dans la gueule des gens, la moitié a déjà la bouche béante et la salive qui dégouline.
Pas ma tasse de thé.
Dans la même ligne que Tiffany et Minty, Bridget et ses ennuis : génial !
Je ris toute seule en pensant à la soupe bleue qu'elle a faite ou à ses amours !
Dans le fond, il y a toujours un prince charmant qui arrange tout et vous aime malgré toute votre cellulite et vos défauts !
un régal !
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