Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
En 1965, Guy Debord dépose le brevet d'un Jeu de la Guerre (dit encore Kriegspiel) qu'il avait imaginé dix ans plus tôt. En janvier 1977, il s'associe à Gérard Lebovici pour fonder, à parts égales, une société dont l'objet est la production, la publication et l'exploitation de jeux. Sous la dénomination «Les Jeux stratégiques et historiques», la société publie simultanément en français et en anglais une Règle du «Jeu de la Guerre», et fait réaliser par un artisant quatre (ou cinq) exemplaires du jeu, dont la table (45,5 cm x 36,5 cm) et les pièces ciselées sont en cuivre argenté. C'est en 1987, après la disparition de Gérard Lebovici, que paraîtra, aux Éditions qui portaient son nom, Le Jeu de la Guerre, présenté sous la forme d'un «relevé des positions successives de toutes les forces au cours d'une partie». Un modèle rudimentaire du jeu avait été diffusé dans le même temps. En 1991, par décision de Guy Debord, Le Jeu de la Guerre est mis au pilon avec l'ensemble de ses autres livres publiés. Nous le faisons reparaître dans une nouvelle édition revue, corrigée et augmentée de documents retrouvés, susceptibles d'éclairer le lecteur sur le fondement et la nature spécifique de ce jeu tel que l'a conçu et réalisé son inventeur Guy Debord.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"