"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Savez-vous que Hugo prononça l'éloge funèbre de Balzac? Que Mallarmé dédia un poème à Verlaine? Que Sartre, pourtant en froid avec lui, publia un hommage magnifique à la mort de Camus? Que Martin Luther King écrivit sa propre oraison?Depuis l'Antiquité, on célèbre les défunts. Morceau de bravoure et d'éloquence, l'oraison rend hommage à un homme ou à une femme illustre, qui est aussi parfois un intime. Elle loue ses qualités, ses talents, son caractère remarquable, ses faiblesses aussi. L'adieu ému et sincère restitue par les mots la valeur d'une vie hors du commun. Entrée dans l'imaginaire du deuil en compagnie de Périclès, Bossuet, Marie-Antoinette, Abraham Lincoln, Émile Zola, François Mauriac, Stefan Zweig, Marcel Pagnol, Winston Churchill, Jean Cocteau, André Malraux, Fidel Castro, Benoît XVI, Barack Obama, Oprah Winfrey, Pierre Bergé, et bien d'autres...
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