Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Charles Darwin n'a pas perdu la foi à cause des guêpes fouisseuses, qui nourrissent leurs larves de chenilles vivantes paralysées, mais il ne pouvait concevoir que Dieu les ait inventées. Devant la cruauté de la nature ou les horreurs du capitalisme, nous avons tous déjà ressenti ce vertige, difficile à mettre en mots, qui traverse Le génie des autres.
Les propositions qui composent ce livre répondent à l'absurdité du monde en empruntant elles-mêmes une veine absurde, joueuse, critique. Jacob Wren s'interroge, avec un pessimisme lucide, sur la possibilité de créer sans mentir ni succomber à notre besoin de certitudes, à notre soif d'absolu. Alors que le show-business menace le sens et le pouvoir de l'art, Wren choisit l'ambivalence, l'humour et la dérision pour nous rappeler que l'un et l'autre tiennent avant tout aux interactions humaines.
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Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
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