80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ces lignes sont le cri du coeur d'un Gabonais, qui, face à la déliquescence de son environnement politique, économique et social, décide de ne pas se taire, de ne pas assister de manière passive et résignée à la mise à mort du bien le plus précieux qu'il possède : son Pays. Ladite mise à mort semble être planifiée et exécutée par un groupe de « prédateurs », dont on se demande s'ils sont vraiment de ce pays, qu'ils prétendent aimer. C'est aussi un appel de détresse à l'endroit du peuple gabonais lui-même, réputé docile, amorphe, malléable et corvéable à souhait, acceptant toutes les humiliations sans mot dire. En tant que membres de notre communauté nationale, nous sommes tous responsables et comptables de notre destin commun.
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