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Le festival de cannes

Couverture du livre « Le festival de cannes » de Frederic Mitterrand aux éditions Robert Laffont
Résumé:

Dans la lignée de La Mauvaise Vie , immense succès critique et public (200 000 exemplaires vendus), le nouveau livre de Frédéric Mitterrand est un événement à la hauteur de l'attente qu'il suscite.
Après avoir réussi à faire du premier volet de son " autobiographie " une véritable oeuvre... Voir plus

Dans la lignée de La Mauvaise Vie , immense succès critique et public (200 000 exemplaires vendus), le nouveau livre de Frédéric Mitterrand est un événement à la hauteur de l'attente qu'il suscite.
Après avoir réussi à faire du premier volet de son " autobiographie " une véritable oeuvre littéraire ET un best-seller - ce qui est rare -, Frédéric Mitterrand nous en offre aujourd'hui une autre variation. Et, cette fois, il nous emmène à Cannes, lors du dernier festival, point de départ de ce nouvel opus.
Un " Étoiles et toiles " intime où l'on croise Anna Magnani et Pedro Almodóvar, Rita Hayworth et John Huston, et tant d'autres : la magie du cinéma, mêlée à la " mauvaise vie " d'un homme qui écrit pour " se consoler comme il peut de ses remords ".
Invité à présider un jury d'enseignants autour de l'édition 2006 du Festival, Frédéric Mitterrand est retourné presque incognito à Cannes, où il ne venait plus depuis des années. Durant cette Quinzaine, il est allé voir tous les films en compétition, a renoué, pas dupe, avec les petits rituels et le " grand cirque " de la Mecque du cinéma. Journée après journée, il nous en livre ses carnets secrets : ses rencontres, ses impressions, ses portraits de telle ou telle personnalité, ses réflexions de cinéphile ; mais aussi les souvenirs, très personnels, que mémoire et mélancolie réveillent en lui.
Sous les paillettes du Festival, que cet amoureux du cinéma dépeint avec son regard à la fois ultrasensible et acéré, on retrouve le grand écrivain de La Mauvaise Vie.
Une absolue liberté de ton et de pensée, cette manière, qui n'est pas une affectation, de ne jamais être " politiquement correct ". La crudité des confessions, et l'extrême délicatesse des sentiments à l'égard d'immenses personnalités comme de ces " garçons " inconnus qui peuplent ses rêves sans combler sa solitude. Et, bien sûr, son style inimitable.

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