« - Le penseur d'hier avait donc raison lorsqu'il parlait de la difficulté qu'a l'homme de cerner tous les contours de son oeuvre.
- De grâce, l'écologie, ne vous en moquez pas.
- N'oublie pas que nous avons la grande priorité de nous développer à tout prix, quel que soit le tournant écologique que cela va prendre.
- Justement, dès qu'on arrive à une telle assertion, il apparaît si clairement que l'homme continuera à agir sans clairvoyance sur la nature au détriment de la vie. Aujourd'hui, il n'y a pas que la couche d'ozone qui se dresse comme une épée de Damoclès sur nos têtes. La mer, le socle de la vie, est en train de subir des assauts graves, pendant que la conscience humaine continue à s'enivrer du vin de la négligence de son unique cadre de vie.
Qui sait si les bas-fonds qui reçoivent les déchets toxiques ne sont pas en train de couver la dernière composante de l'irréparable ? »
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