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Le ciel de Cambridge ; Rupert Brooke, la mort et la poésie

Couverture du livre « Le ciel de Cambridge ; Rupert Brooke, la mort et la poésie » de Philippe Barthelet aux éditions Pierre-guillaume De Roux
Résumé:

«Nous t'avons trouvé pâle et calme, étrangement couronné de fleurs, beau et secret comme un enfant...» Dans ce chant funèbre d'un jour qu'il a aimé, Day that I loved, Rupert Brooke se trahit dans cette parenthèse, trahit cette intime prophétie du poète qui sait ce qu'il dit, d'une science... Voir plus

«Nous t'avons trouvé pâle et calme, étrangement couronné de fleurs, beau et secret comme un enfant...» Dans ce chant funèbre d'un jour qu'il a aimé, Day that I loved, Rupert Brooke se trahit dans cette parenthèse, trahit cette intime prophétie du poète qui sait ce qu'il dit, d'une science obscure et définitive : c'est un jour qu'il a aimé dont il décrit l'embarquement de la dépouille sur quelle mer ténébreuse, et là-bas nulle clameur de gloire comme chez Lord Tennyson, mais le dernier feu sur l'abîme, flame ultimate on the deep» Rupert Brooke (1887-1915) fut le prince de la jeunesse et aussi, à son corps défendant, le prince du paradoxe : l'auteur d'un des plus beaux poèmes jamais écrits sur l'amour de la patrie, The Soldier («Le Soldat»), qui fit de lui le plus célèbre «poète de guerre» anglais, n'a pas eu le temps de combattre.
Il est mort le 23 avril 1915, deux jours avant le débarquement des Dardanelles, et a été enterré sur nie de Scyros. Un hymne à la gloire du dernier chantre de la poésie immortelle.

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