Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Jadis, au temps où les bêtes apprivoisées étaient encore sauvages, le chien était sauvage, le cheval était sauvage, la vache était sauvage. Mais le plus sauvage de tous était le chat. Il se promenait seul et tous lieux se valaient pour lui. Jusqu'au jour où l'homme et la femme apprivoisèrent chien, vache et cochon... Chat y compris ? Que nenni, il est celui qui s'en va tout seul et il fait ce qu'il veut !
Au tout début, l'homme, comme les animaux était sauvage.
Quand survint la femme, elle apprivoisa l'homme, puis le chien, puis le cheval, puis l'homme.
Quand vint le chat, qui affirmait son indépendance, la femme proposa un marché.
Le chat, rusé, parvint à honorer les termes de ce marché, mais préserva son indépendance.
Un joli petit conte, tout à l'honneur du chat.
Rudyard Kipling a peu écrit sur les chats.
Cette courte histoire étiologique et symbolique sur le caractère du chat et sur l'indépendance est très sympathique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile