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«Les longs cheveux blonds de Jean-Jeanne Lareine flottent à la manière d'un étendard de liberté dans la brise échappée du lit de la Seine ; malgré la douceur de ce bel après-midi ensoleillé du vendredi 26 mai 1989, ses joues sont humides de larmes coulant comme une seconde nature : il pleure sa condition d'homme-femme né avec les organes procréateurs des deux sexes, qui aurait ainsi la possibilité théorique de plaire à tout le monde, mais qui en pratique ne plaît à personne.»
Par chance, les événements nouveaux relatés dans le manuscrit du jeune écrivain Clément Milord aideront Jean-Jeanne Lareine et les autres locataires de l'immeuble du numéro six du passage Abel-Leblanc à s'accepter tels qu'ils sont, et à faire front uni face à la dernière idée folle d'une bourgeoisie décadente au bord de l'extinction.
«Le Chant de la ville ou les Rats qui sourient» fait revivre le Paris de 1989 à travers les descriptions précises de Clément Milord, un jeune écrivain en pleine réflexion sur son identité et sa vocation.
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