Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

L'assassinat de Marat 1793

Couverture du livre « L'assassinat de Marat 1793 » de Kristell Chevalier aux éditions Giovanangeli Artilleur
  • Nombre de pages : 190
  • Collection : (-)
  • Genre : Histoire
  • Thème : Histoire
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Marat est mort ! " La nouvelle court Paris ce 13 juillet 1793 où le danger est partout pour la Révolution : à l'intérieur, à l'Ouest et aux frontières. L'Ami du peuple, le journaliste à la plume trempée dans le venin, le tribun à la langue assassine, le député de Paris en guerre contre les... Voir plus

Marat est mort ! " La nouvelle court Paris ce 13 juillet 1793 où le danger est partout pour la Révolution : à l'intérieur, à l'Ouest et aux frontières. L'Ami du peuple, le journaliste à la plume trempée dans le venin, le tribun à la langue assassine, le député de Paris en guerre contre les traîtres et les faiblesses de la Convention... est mort poignardé dans sa baignoire, et de la main d'une femme ! Jean-Paul Marat, " le Caligula des carrefours " selon Chateaubriand, est un enragé qui effraie les Montagnards eux-mêmes. Médecin et auteur prolifique se sentant incompris et persécuté, l'ambitieux a trouvé l'occasion d'exister dans la Révolution, où il exige des têtes, encore des têtes ! Quelques centaines de têtes coupées, proclame-t-il, peuvent en sauver des milliers. Charlotte Corday, " l'Ange de l'assassinat " selon Lamartine, n'est qu'une jeune provinciale de bonne famille horrifiée par les récits sanglants des Girondins en fuite à Caen. Montée pour cela à Paris, cette vierge résolue va tuer cette " bête immonde ", ce " pape de l'horrible ", dans la baignoire où le cloue sa maladie de peau. Abattre cette tête-là, pense-t-elle secrètement, peut en sauver cent mille. Kristell CHEVALIER double son récit de cette page d'histoire de France d'une approche psychologique fouillée des deux héros de ce drame à l'antique, tout à fait digne de l'arrière-grand-oncle de Charlotte, le grand Corneille...

Donner votre avis